Tu m'achètes

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J'étais vraiment essoufflée.

Sa respiration était presque aussi bruyante que la mienne. Et puis on entendus à porte d'entrée s'ouvrir et je reconnus la voix de Mathilde et Grégoire.

Alison pouffa et lâcha:

-Heureusement que c'était pas 5 minutes plus tôt.

Son torse à l'air de souleva en même temps que son éclat de rire et je l'imita.

Elle tira la couette de dessus de nous et je posa ma tête contre son épaule en caressant ses côtes.

La porte de la chambre s'ouvrit et je ferma mes yeux pour paraître endormis.

-Coucou, on est rentrés.

-Hey, chuchota Alison, Ellie est passée elle s'est endormis. Elle peut rester?

-Oh oui oui, mais endors toi aussi.

-Merci bonne nuit papa.

-Bonne nuit ma chérie.

La porte se ferma et ma copine me lécha le front.

-Je suis trop bien positionnée pour répliquer.

Elle me serra d'avantage et passa sa main dans mes cheveux.

-Mmm j'aime bien quand tu fais ça, vive les papouilles.

Elle continua ses légères caresses dans mon cuir chevelu et je poursuivais mes mouvements le long de ses côtes.

-Tu m'as manqué.

- On s'est vu...

-Oui, mais je veux dire tu me manques quand même.

Elle enroula son bras autour de ma nuque et chuchota:

-Toi aussi tu me manques quand même.

*

-Déjà?

-Oui, mais tu peux rester à la maison.

-Oh cool, salut amusez vous bien.

-Merci tu dis à Ellie qu'on la salue.

-D'acc papa, à plus.

Une porte se ferma et je sentis la couette de soulever et une masse brûlante de glissa contre moi.

Je fondus sur elle et m'accrochai à elle.

-Bonjour toi, dis donc, t'es chaleureuse.

Je restais quand même sous la couette et sentis sa main effleurer mes reins où j'étais chatouilleuse.

Je grogna et elle glissa complètement sous la couette.

Elle s'était habillé et son habits frottaient contre ma peau. J'ouvris les yeux et rencontra ses iris clairs.

-Salut.

Elle souris et posa ses lèvres sur ma joue et souffla d'un coup.

-Oh bordel Alison!

Je me repoussa ce qui la fit tomber du lit en emportant ma couettes j'attrapa le bled au bout du lit et m'y entortilla.

J'entendais ma copine mourir de rire par terre.

-Je déteste quand tu fais ça.

-Ohhhh, aller viens par là...

-Non.

Elle balança la couette au dessus de moi. Et tenta de remonter.

-Ah non tu dégages. T'as pas le droit de venir.

Je t'aime ... je t'aimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant