Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )

Chapitre 19

Mon corps ne fini pas sa chute jusqu'au sol. J'ouvre les yeux. Je suis dans ses bras.  Je reprend doucement ma respiration pour atténué la douleur. Il a ses mains sur mes jambes et en dessous de ma poitrine.

- Merci mais lâchez moi.

J'essaye de descendre mais il appuie fort sur ma côte et je m'arrête tout de suite. Je grimace et souffle. Sa fait mal. Ma côte qui protège mes poumons. Bravo, Hymey. Il marche vers tout droit devant lui, vers le château. Le roi des vampires... Génial. Je sers le roi des vampires.... M'importe quoi. Il ne dit rien. Pourquoi il est autant calme?

Il continue d'appuyer sur ma côte, je soupire lentement. Mon corps se crispe. Sa fait beaucoup plus mal que mon poignet qu'il a cassé. Ok je m'en fiche de mourir mais je sais qu'il ne compte pas me tué. Et en 3 mois, il m'a juste cassé le poignet... Enfin... Juste n'est pas le mot.

Il continue d'appuyer sur ma côte hors que je me suis cogné dessus avec une branche. Sa fait mal mais vraiment. Il ne parle pas mes ses yeux sont toujours doré. Il se retiens de s'énerver. Même si je me suis enfui, je ne crois pas que c'est pour moi qu'il ce retiens, il m'aurait déjà parlé si non.

Il continue d'appuyer et je sens mes côtes rentrer vers mes poumons. Je ferme les yeux et me retiens de crié. Il va me brisé les côtes et percé mes poumons... Je ne peux m'empêcher de poser ma tête sur son épaule tellement la douleur est insupportable.

- Vous... Vous me faites mal...

Il arrête d'appuyer sur ma côte. Je souffle en décollant ma tête de son épaule. Mon visage est tordue par la douleur.

- Tu m'appartient donc sa ne sert à rien de t'enfuir.

- Je....

Il me coupe.

- Dit quelque chose et je continue.

Je grimace à chaque respiration, à chaque fois que ma cage thoracique monte et descend. Et maintenant, de mieux en mieux, je vois flou. Ma vue se brouille. Je ferme quelque seconde les yeux pour me reprendre.

Il se met à courir vite et en moins de quelques minutes, on est dans le château. Génial, me revoilà au point de départ... Et blessée.

Zaïmyr Ivanovitch

Je suis en train de boire un verre avec Loïs. La journée d'aujourd'hui m'a énervé. On discute, il doit être 1h du matin.

On continue de parler mais je m'arrête net. Elle est surprise donc elle ne dort pas. Et le pire, elle n'est plus dans le château. Mes oreilles sont toujours branché sur son coeur. Je ne peux pas m'en empêcher. Nuit et jour, peut importe. Je l'ai dit, elle est à moi.

- Qu'est ce qu'il y a ?

- Elle c'est enfuie.

- Ah bon? On ne l'a même pas remarqué.

- Elle cache juste très bien son jeu. J'y vais.

Je sors du château à toute vitesse. Comment elle m'énerve ! Je vais la.... Non, je peux pas. Je bouilli de rage. Je tue les loups garou devant moi pendant qu'ils crient à mort. Je me retrouve avec leur sang partout. Leur odeur m'énerve encore plus. Et en plus, elle se trouvai face à ses bêtes. Qu'ils l'ont touché ou pas, ils sont mort maintenant.

J'arrive près d'elle. Je me mets devant elle. Elle ce heurte de  plein fouet à moi et tombe sur le sol. Elle grimace et ce lève. Je la regarde dans les yeux les mains dans les poches. Chez moi, un silence comme ça n'est pas bon signe. Elle regarde à gauche à droite, en bas puis en haut.

Elle me regarde et se décale en même temps vers un arbre. Elle doit vraiment me prendre pour un con. Mais j'ai tout mon temps, après tout. Elle ne pourra pas me fuir. Je reste là à l'observer.

- N'y pense même pas.

Elle le fait quand même. Elle y avait déjà pensé de toute manière. Je sais que l'homme descend du singe mais là, sa ne prend pas tout son sens. Un singe ne vole pas. Une humaine ne vole pas. Son don de télékinésie est impressionnant. Insupportable. Impressionnante. Quel mot choisir? Je sers les poings. Elle s'assoit sur une branche. Elle est habillée d'une robe bleu ciel.

- Je t'aurais prévenue.

Je monte vite dans l'arbre pendant que elle, elle s'est levé et marche sur les branches en s'accrochant à l'arbre. Je marche derrière elle. Je me cache derrière le tronc pendant qu'elle regarde partout. Je me remets derrière elle. Elle continue de regarder et se retourne pour me regarder. Elle recule...

Elle tombe de l'arbre, je saute et l'a rattrape avant que son corps ne touche le sol. Elle, elle est là, à fermé les yeux. Elle les ouvrent et parle. Son cœur bat tout de même assez vite, maintenant.

- Merci mais lâchez moi.

Elle essaye de descendre. J'appuie sur sa côte. Elle arrête tout mouvement et grimace. Ah... Mademoiselle c'est encore fait mal toute seule. Je savais qu'elle allait fuir mais elle a mal choisi son jour. Je commence à marcher. Rien qu'imaginer c'est chien de loup garou qui voulait la toucher.

Et leur odeur de chien mouillée... Sa m'énerve. Je la sens encore crispé mais je ne fais pas attention. Elle était donc partie depuis les environs de 23h. Elle est très maline cette enfant. Les battements de son cœur sont irrégulier mais je ne fais pas attention. Maintenant, elle sait que je suis roi. Je les ai entendu lui dire.

Mais ce n'est pas pour autant que cette enfant stupide et inconsciente vas m'écouter correctement ! Elle pose sa tête sur mon épaule. Ah? Maintenant mademoiselle est fatiguée ?

- Vous... Vous me faites mal...

Je sors de mes pensées et dessert ma prise autour d'elle. Elle décolle sa tête de mon épaule en grimaçant. Elle respire mal et elle grimace à chaque fois..? Je fronces brutalement des sourcils. Ce n'est pas normal.

- Tu m'appartient donc sa ne sert à rien de t'enfuir.

- Je...

Je la coupe. Elle va me dire le contraire hors que c'est faux.

- Dit quelque chose et je continue.

Elle ne dit rien. Je cours jusqu'au château et on arrive en minutes. Je rentre dans ma chambre et la dépose. Je ferme ma porte à clé. Elle me regarde en tenant sa côte. Elle s'empêche de respirer à quelque moment. Elle essaye de me faire croire qu'elle à un simple point de côté peut être. Mais vu sa chute, c'est loin d'être ça. Je sais qu'elle à mal, sa se vois à ses joues qui ont commencé à rosir. 

Je pars dans ma salle de bain et prend une douche. Je ne supporte pas du tout l'odeur des loup garou. Une fois fini, je m'essuie et m'habiller d'un jogging gris et tee-shirt noir. Je sors de la salle de bain. Elle est toujours debout où je l'ai laissé. Qu'est ce que je disais. Elle a tellement mal qu'elle n'ose pas bougé.