Chapitre 31

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Hymey Délila

8 juin, 13h30.

 Voilà plusieurs jours que je suis là, à glander dans ma chambre. Je ne suis plus malade. Tout trace de microbe à quitté ce corps. Il est de nouveau comme neuf et heureusement. Avoir les mains de Zaïmyr sur moi, même pour me porter, ça ne me plaît pas. Sa ne me dérangeais pas vraiment. Mais depuis que je sais que je suis sa promise. Oui. Beaucoup, même.  Je n'est pas cessé de réfléchir à ça.

C'est peu croyable. Quel tragédie... Je suis quelqu'un qui aime bougé. Et rester dans ma chambre juste pour l'éviter m'énerve et je suis nerveuse. Il faut que je sorte. Mais là, c'est important. Je dois absolument sortir aujourd'hui.

Quel chose se prépare.

A propos de la princesse. Et bien que je ne lui est pas parlé depuis qu'elle est arrivé. J'aimerais bien évité ça. Je commence vraiment à devenir trop gentille avec cette espèce.  Alors en sortant de ma bouche, j'enfile une simple culotte noir et ma robe. Une robe vert d'eau à épaule nue et en dentelle. Simple. Et je suis abonné à mes chaussures préférés. De simple baskets noir feront tout simplement l'affaire.

Quand je marche dans les couloirs, mes cheveux rebondissent un peu sous mes épaules. Depuis un bon moment, les servants et gardes du château ne se préocupe plus trop de moi. Vu que je suis ici depuis quelque moi, ils se sont habitué. Et c'est sûr que. Après l'annonce public de Zaïmyr dans le château, il ne vont pas risqué de mettre en colère leur roi pour me toucher. 

L'herbe est verte dans le jardin et cela crée un contraste parfait avec les rose rouge et les gazania dans les parquets. Le jardin est beau mais assez sombre. A l'image des vampire. Mais qu'est ce que ça fait du bien de respirer de l'air frais. De sentir les rayons du soleil sur ma peau. Un souffle d'aise m'échappe et ça fait du bien de sortir un peu. Mais avant d'aller aider la princesse, je m'assois sur mon bang fétiche.

En bois et les accoudoir en fer. Les dessins en gravure sur le bois sont magnifique. Le vent est frais, sur mon visage. Mais la tranquillité est vite de courte durée. 

- Enfin, tu es sortie. Je pensais que tu allais rester là, terrer à jamais dans cette chambre.

 Non, pas besoin de me retourner. Je sais déjà qui sait juste à sa voix et cette odeur légèrement boisé et sucré qui s'émane de lui. C'est léger mais avec le vent, je le sens. Et je sais quand il part chassé où en forêt, il n'en met pas. Car la discrétion est quelque chose de très important dans un monde en guerre tel que celui ci.  Je me décide à me levé pour lui faire face. Et j'avais déjà oublié à quel point, je suis bien loin de faire sa taille. Je le regarde un moment et il n'est pas en costume complet. Il porte une chemise noir légèrement ouvert avec un pantalon gris foncé. 

Ses yeux sont bien plus brillant au soleil. Encore, je les admire un peu, c'est comme de l'or fondu. Magnifique. Cette couleur ne va pas avec un tel monstre. 

- Il faut dire que oui; J'aurais préféré ne pas vous voir. Malheureusement, on ne peut pas tout avoir.  Où est la princesse ?

- Pourquoi veux tu savoir où est ma sœur?

 Je ne lui aurais pas demandé si je savais. Je ne sais pas exactement où se situe l'endroit de mon verre. A vrai dire, ce n'est pas comme si j'avais pris mon temps de visiter tout les coins et recoins de ce domaine. Je devrais le faire. C'est important. Je me souviens. D'une pièce. Un bureau et plein de livre. Il y avait également une vielle horlogue. Ce n'était en aucun cas la bibliothèque du château ou celle où on a fallu me tué. Je ne vois vraiment pas où ça peut être. 

Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant