Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )

Chapitre 32

 Je suis complètement bloqué contre le mur. Ses bras m'encadre et je suis obligé de levé la tête pour le regarder. Ses yeux sont rouges sang. Et pour dire vrai, je préfère largement la couleur doré de ses yeux à celle ci. Et ses canines blanches. Je sais que. Si il décidait de me mordre, je sais que j'aurai mal. Bien que ce ne soit pas nouveau.

- Tu ne pouvais pas me dire ça? Il s'agit de ma sœur !

- Dans tout les cas, vous ne pouvez rien faire ! Et pourquoi vous êtes là?

-  De une. Tu me parles mieux. De deux. Tu ne me lances pas de livre dessus. Menace-t-il.

- Vous êtes un vampire très rapide, vous ne l'avez juste pas réceptionné !

 Et il se colle à moi. Je colle un peu plus mon dos au mur. Et là, comme ça, je peux encore mieux sentir l'odeur de son parfum. Et lentement, il se penche vers mon cou. Mon corps ne se crispe pas. Au contraire. Je frisonne et je sens la chaleur augmenté dans mes joues. Quel imbécile je fais de rougir aussi bêtement. Je sens presque son nez touché ma peau.

- Qu'est ce que vous... Faîtes ?

 Je place mes main sur son torse. Je veux qu'il recule. Mais mes bras ne sont pas du tout dans une bonne position pour le repousser. Et même si, il ne bouge pas du tout. Je l'entends pouffer et je me renfrogne. Oh que oui, sa l'amuse de faire ça alors que je ne peux rien faire. Il est. Trop. Proche. Mais bordel qu'il sens bon.

- Je t'ai déjà prévenue de ne pas me chercher, Hymey. Je te laisse beaucoup de liberté, pour une humaine. Reste à ta place.

- Vos menaces ne me font rien. Vous savez que je n'ai pas peur de vous. De la liberté, vous m'en donnez car vous ne pouvez pas m'encadrer comme vous le voulez.

J'ai touché une corde sensible. Car il a grogné de mécontentement. Une de ses mains s'est déplacé pour attrapé une mèche de mes cheveux qu'il a lentement tiré. Et en même temps, ses doigts froid passe lentement sur la peau nue de mon épaule, puis de mes bras. Et tout les poils de mon corps s'hérissent. 

- Tu sais, là, je pourrais très bien te mordre...

- Si vous vous vouliez me mordre, vous l'auriez fait depuis longtemps.

 Cette fois, c'est sa boche que je sens passé sur la peau de mon cou. Follement, mes yeux se sont écarquillés. Il a rangé ses canines et là, ce n'est que la pulpe fine de ses lèvres que je sens. Et ce geste finis de faire monté la température de mon visage.

- Tu vois, sa me surprends de te voir rougir. Surtout devant quelqu'un que tu considères comme un ennemi.

 Et maintenant, me voilà complètement gêné, même honteuse. J'ouvre la bouche, sans le regarder, pour essayez de formuler une phrase correct. Mais mon cerveau est complètement embrumé. 

- Je... Enfin... Je ne...

- Tu bégaye, même.

 Sa main quitte la peau de mes bras pour se poser sur ma taille. Et il presse celle ci. Il ne me fait pas mal, non. Sa prise en est presque possessif. Il marque son territoire. Et je déteste ça. Promise ou pas promise, moi, j'ai dit que je ne suis pas à lui. 

Et je ne suis pas à lui. 

Il se redresse enfin et je soupire en sentant ses lèvres quitté la peau de mon cou. Ses yeux sont redevenue doré. Mais il ne recule pas. Il me colle à lui et passe ses bras autour de moi. Ma poitrine est presque comprimé contre son torse et une des bretelles est même tombé. Je pose mes mains sur ses bras, du mieux que je peux. Mais je le regarde mal. Il ne peut pas me lâcher?