Chapitre 82

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1er août.

La loi à été appliqué même si au début, il y a eu des difficulté, les problèmes sont moins présents et tout le monde doit encore si habitué. Ce sera vraiment sanctionnant dans à peu près 2 mois. Entre moi et Zaïmyr, toujours au même niveau. Je l'aime et comme il me l'a dit, il n'a pas besoin de me le dire. Depuis que j'ai instaurer cette loi, franchement, c'est beaucoup mieux.

Bien sûr, il y en a aussi qui ne sont pas contents. Mais ça, c'est eux et eux. Aujourd'hui, il y a une fête de présence. Pour entrevoir le roi et autre.

Il est déjà 18h. J'ai laissé mes cheveux simplement bouclé naturellement et une robe crème. La robe est à bretelles avec un décolleté qui fait monté ma poitrine, le haut est en satin. Le bas de la robe est ample en dentelle et le satin en dessous, simple.

De simple talons blanc. La soirée commence doucement, je danse avec Zaïmyr. Je suis tellement bien dans ses bras... Il pouffe de rire, il l'a un peu compris. Me retrouvez dans ses bras après tout mes devois royaux est vraiment un repos mérités. Il se penche à mon oreille.

- Je suis assez confortable pour mademoiselle ?

- Oui, très.

Je serai encore plus sa veste avec ma main. La danse se fini un peu trop vite à mon goût. Je me recule de lui.

- Je vais aller prendre l'air, il fait chaud à l'intérieur.

- D'accord mademoiselle.

Je sors, il ne fait pas encore nuit, on est encore en été. Il fait un peu plus frais dehors, je soupire, essayant d'éviter une énième bouffé de chaleur et heureusement, le temps se rafraîchit. Je  m'accroche au rebord de l'escalier devant moi et ferme les yeux pour profiter de la brise. Je passe ma main dans mes cheveux pour les décoller de ma peau. Je suis rapidement dérangés par un raclement de gorge dans mon dos qui m'oblige à me retourner. 

C'est sans aucune surprise que je me retrouve face à Zaïmyr qui prend ma main dans la sienne et s'approche assez de moi pour m'embrasser sur la bouche. Hum, oui, éviter trop de baisé d'affection devant le public. Les règles royales.... Il se recule doucement et il n'en faut pas plus pour me faire sourire. Il me lâche enfin et pendant un moment, il ne bouge pas avant de se mettre à genoux devant moi. Avant même qu'il me parle, mon cerveau s'est déjà mis en pause et je le regarde subjuguée alors qu'il reprend ma main dans la sienne.

La surprise passe et je fronces des sourcils, sans comprendre, essayant de me persuadé que ce n'est pas ce que je pense. Et pourtant, quand il ouvre la bouche, mon cœur s'écroule.

- Le début de notre relation n'a pas été facile, je dois l'avouer. Mais maintenant, on peut dire qu'il s'en sort très bien. Je t'ai toruvé et je n'est pas l'intention de te perdre. Tu as une valeur inestimable et même l'éternité ne suffirai pas pour que je puisse t'admirer de tout mon coeur. Je t'aime, Hymey.

Il s'arrête un instant et ses yeux n'ont jamais plus briller que maintenant.

- Hymey Délilla, veut tu bien me faire l'honneur de devenir ma femme et ma reine?

Je le regarde les yeux grand ouvert. C'est sûr et certain, j'hallucine. Non? Peut être. Il sort une petite boîte de sa poche et l'ouvre, me laissant voir une bague en or avec une fleur rouge rubis et des minuscules feuilles avec des diamants presque gris. Il... me demande en mariage. Ce n'est pas un rêve. 

Pourtant, mon cerveau n'arrive pas à suivre. Je ne sais pas du tout quoi dire. Mon estomac se tord tellement les papillons dans mon ventre me font mal tant je suis heureuse. Je ne comprend pas ce qui m'arrive et mes larmes coulent toute seule. Ma main sur ma bouche, je retiens mon sanglot, ne comprenant même pas pourquoi je pleure. Une demande en mariage... C'était pourtant notre destiné mais je ne me serait jamais doué que ça arriverait. 

- C'est un oui ou un non? Dit il en finissant par reprendre la parole.

Je reprends ma respiration et hoche de la tête. Un sentiment de soulagement inonde ses yeux et il passe la bague à mon doigt. Il m'embrasse tout en séchant mes larmes. Il recule et me regarde, radieux. 

-J'ai vraiment penser que tu allais dire non. 

Je le regarde et pouffe de rire. Je secoue la tête et soupire en reniflant.

- Je t'ai chamboulé, mademoiselle ?

Je hoche simplement de la tête.

- Viens, allons te faire boire quelques choses. 

- Oui. Réussis-je à dire, la voix faible.

Il m'emmène à l'intérieur tandis que mon cœur tambourine fort dans ma poitrine. La soirée passé doucement. Il n'arrêtait pas de me regarder, j'étais complètement bouleversée, pâle comme un linge.

4 août.

Il est 14h, je suis habillée d'une jupe taille haute blanche qui m'arrive au genou et un body rose, des baskets blanches et mes baskets. Le haut est un peu à balconnet avec des coques épaisses avec de la dentelle. Le bas est simple et en satin.

Je m'occupe de mes cheveux et fait une tresse épi de blé. Je prends mon petit déjeuner, j'ai passé la matinée à faire les devoir de reine et m'occuper de ma sœur. Ma sœur le sais, elle est contente pour moi. D'ailleurs, ses entraînements avec Zaïmyr continue bien qu'à certains moments, elle devient silencieuse. Ses yeux n'ont plus la même vitalité qu'avant.  J'arrive toujours pas à me dire qu'il m'a demandé en mariage. Franchement ridicule.

Je sors de la chambre et descend dans le bureau de Zaïmyr. Je ne me fait pas annoncé et rentre. Zaïmyr m'adresse directement un sourire. Loïs et Cort me salut. Cort à son manoir tout près du château donc il peut venir quand il veut.

Je m'assois à côté de Zaïmyr. On commence à parler de la loi, les avancements. Les devoirs et confits royaux. Certains sont une réel perte de temps mais nous somme obligé d'y faire face. Je replace une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et croise le regard de Cort.  J

- Un problème ? Dis-je.

Il pouffe de rire.

- Non, Zaïmyr t'a offert un autre cadeau, jolie.

Il pointe la bague à ma main. Zaïmyr le regarde en fronçant des sourcils, je secoue la tête. Zaïmyr me devance.

- Ce n'est pas un cadeau.

Cort et Loïs se tourne vers lui et si ils avaient été humains, je suis sûr et certaines qu'ils se seraient brisés quelques chose. 

- Ah! Tu l'a enfin demander en mariage et tu ne dit rien!? T'aurais dû dire non Hymey, il aurait compris !

Zaïmyr dévisage son cousin et vraiment, je n'aurais pas aimé être à sa place.

Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant