Chapitre 37

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Concentre toi, Hymey! 

 Je ne ferme pas les yeux, non. Je les crispe, les plus fort possible. Et je sens une vague déferlé en moi. Puis je lâche tout. Je l'entends être propulsé contre la grille de la cellule. J'ouvre tout aussi vite les yeux et descends rapidement, manquant de tombé. Je ramasse les clés brillante qu'il a fait tomber et sors. En même temps que je sors pour l'enfermer à l'intérieur. Sa patte c'est brusquement levé. Et il m'a touché, à la taille.

Encore, je me retiens de crier. Mais dans un mouvement rapidement, je l'enferme. Et mon corps n'est que blessure et  douleur. Que je voudrais crié et sortir de mon corps et mon cœur. 

- pourquoi tu ne crie pas!? Tu n'est pas une humaine normal comme l'a dit l'alpha!

Je le regarde un moment, il essaye de cassé le bois. Je m'éloigne d'une mort certaines et douloureuses. Et je lâche les clés, loin de la cellule. En même temps que le bruit des clés ne retentit à terre, je me penche et régurgites tout ce que mon pauvre estomac contenait. Je toussote. Pendant quelques secondes, je me sens mieux. Mais toutes les douleurs me mon corps me reviennent en pire après ça. Il m'insulte de tout les nom possible et imaginable. Dégoûtée, j'avale un peu ma salive. Et avec ça, j'ai encore envie de vomir. Je pose ma main sur ma blessure qui a l'air assez profonde et avance. J'ai, tellement mal. Je suis la lumière. Car je sais que c'est la sortie.

Mais net, je m'arrête en les voyant. Habillé et sous formes humaines. Quelques maisons en bois au alentour. Et à peine sortie, ils se sont tous tournés vers moi. Et leur visage se sont déformé de colère et de haine. Pour moi, ou pour Zaïmyr? Je ne sais pas. Et je n'ai pas envie de le savoir. Peut être sommes nous restez dix secondes à nous regarder ensemble comme des moutons égaré. Il est clair que personne ne s'attendait à me voir sortir en vie de cette sorte de grotte. Mais le silence est rapidement coupé. Et ça ne me plaît pas, ce qui sort de la bouche d'un d'entre eux.

J'aurais préféré rester encore un moment dans ce silence.

- Tué là!

Ils se transforment. Ce n'est pas beau à voir, du tout. Puisque leur peau humaine laisse place à la peau animal et on dirait comme de la bave ou du mucus sur leur peau. Les poils noir, les longues oreilles, les pattes courbés et le pire, les os qui craquent et ses légers gémissement de douleur. Je les repousses alors qu'ils sont presque entièrement transformé. Et mes pieds portent mon corps pour courir. Je ne sais même pas où je me trouve!

Je les entends courir après moi et malgré moi, la panique me gagne. Car blessé de cette façon, je n'irais pas loin  et ce n'est pas très beau à voir!  Je m'arrête net et me retourne. Et rapidement, je soulève une pierre proche de nous pour leur balancer dessus. Je reprends ma course, haletante et transpirante. Je continue en faisant tomber un arbre dans mon dos. Il m'a fallu beaucoup d'énergie que je n'ai actuellement pas beaucoup pour le faire tomber. Et le choque sur le sol m'a fait trébucher. Mon corps s'est penché en avant.

Droite, je me remet pour continué à courir malgré la souffrance de mes poumons.  Je suis toute sale et l'utilisation de mes dons, courir et mes blessures me fait maintenant voir flou. Mon corps ne va plus me porté bien longtemps.  Et ma seule solution pour échapper à une mort dans mon dos, c'est grimper en hauteur. Et j'espère que là,  ils ne pourront pas me suivre.

Ma vue est bien pire.  Je risque de m'évanouir à tout moment. Je trébuche de plus en plus et ça me ralentit. Et eux, ils gagnent de l'avance derrière moi. Alors je bifurque vers le pieds d'un arbre et m'arrête net devant. Je me concentre encore malgré ma respiration rapide. Mon don me porte jusqu'en haut de l'arbre, un deux à fallu attraper ma cheville. Mon cœur, je l'ai sentie tomber dans ma cage thoracique ou mes poumons ont du mal à m'approvisionné en air. Sur une des braches les plus épaisses que je me met à califourchon. Ils sont tous en bas, grognant et bavant pour essayez de monter à cet arbre qui doit bien  faire près de 30 de haut.

Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant