Chapitre 100

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Je suis habillée d'une chemise avec un ruban bleu clair en dessous de la poitrine avec un pantalon élastique taille haute. De simple basket. J'ai les cheveux lâchés. En ce moment, je suis assise à une table avec Zaïmyr et les chef qui s'occupe de l'éducation des futurs prince et princesse.

Je ne les écoute même pas, j'ai déjà dit non.

- votre majesté la reine, vous devez choisir une nounou qui s'occupera de la princesse ! Vous ne pouvez pas l'éduquer vous même. Vous ne pouvez pas vous occuper d'elle. Dès sa naissance, c'est à une nounou de faire l'éducation de l'héritier ou l'héritière.

Zaïmyr ne parle même pas. Ils commencent sérieusement à me gonfler.

- nous avons choisi une des meilleures nounou qui s'occupera de la princesse à la naissance. Vous aurez tout le temps pour vos devoirs de reine et conjugale.

Alors là... Je me lève en tenant mon ventre.

- dites moi, vous vous entendez parler!? De quel droit vous vous permettez de choisir une nounou sans mon avis? Il me semble que mon enfant passe avant mes devoirs de reine et mes devoirs conjugale. Et de quoi vous vous mêlé ? Est ce que ce son vos affaires?

Un d'entre eux prend la parole.

- votre majesté, calmer vous...

Je les coupes.

- non, je n'ai pas fini de parler. Vous avez intérêt de bien m'écouter pour qu'on soit bien clair. A la naissance de ma fille, je m'occuperai moi même de son éducation et quand je ne pourrai pas, sa sera Isabella qui s'occupera d'elle. Vous vous étonnez après que les enfants royal perde leur affection maternel.

- votre majesté...

- je parle! Ma famille passe avant tout et en quoi sa vous pose un problème que j'éduque moi même ma fille. C'est mon enfant, pas le votre, est ce bien clair? Vous n'avez aucun droit sur cette enfant alors ne vous croyez pas tout permis parce que je suis plus jeune que vous et humaine.

- votre majesté, vous ne pouvez pas faire ça...

Je frappe ma main sur la table en les dévisageant. Tout les trucs en verre de la salle se brise et les murs se fissure. Ils reculent tous sauf Zaïmyr.

- vous n'avez pas l'air de comprendre. Je m'en contre fou de votre avis. Je vais éduquer la futur princesse moi même. C'est ma fille et il est hors de question que je vous laisse lui mettre vos trucs débile en tête.

Tous me regarde ahuris.

- vous n'avez aucun droit sur cette enfant dans mon ventre et aucun des autres qui l'a suivront sûrement. J'ai déjà dit non donc tout ce que vous pourrez dire ne sert à rien. Je n'ai pas besoin de vous. Ne prenez pas vos air supérieur. Et si vous continuez comme ça, je vous supprime de la liste des éducateurs du royaume.

Il me regarde ahuris.

- vous ne pouvez pas faire ça!

Je rigole nerveusement.

- bien sûr que si, je suis la reine. Ce n'est pas un choix que je vous laisse mais un ordre. Vous n'aurez aucun droit ni privilège sur l'enfant royal. Est ce bien clair? Si vous n'avez toujours pas compris ça, je prendrai des mesures radicale. On est bien d'accord ? Vous croyez que je n'avais pas compris votre jeux?

Il me regarde. Ils sont énervé mais ce n'est pas mon problème.

- oui, votre majesté la reine.

Zaïmyr prend la parole.

- Hymey, assis toi s'ils te plaît.

Je m'assois en soufflant tandis que les fissures sur les mur disparaissent et que les choses en verre de répare. Le roi prends la parole.

- la reine a été clair, vous pouvez disposer. La seule personne qui s'occupera de la princesse quand ni moi, ni la reine ne pourra, sa sera Isabella. La dame de compagnie et servante personnelle de la reine. Elle passera la petite formation qui faudra.

- mais, votre majesté...

Il reprend.

- par contre, moi, vous savez ce qui vous attend si vous me coupé la parole. La reine Syalèmè a pris la même décision. Vous pensiez qu'elle ne serait pas au courant de ça? Vous essayez de profiter sur votre reine? C'est râté. Et même si l'ancienne reine ne l'aurais pas fait, c'est un ordre de votre reine, vous n'avez rien à y dire. Disposé.

Ils partent tous rapidement devant le regard de Zaïmyr. Je me tourne vers lui.

- finalement, tu as aussi changer d'avis?

- oui, c'est revenu à mon esprit quand tu parlais. C'est comme tu veux, chérie.

Il se lève et se penche pour m'embrasser. Il me regarde.

- viens, j'ai une surprise pour toi.

Il me donne sa main que je prends mon pour m'aider à me lever. On sort de la salle de réunion. Je marche en tenant mon ventre. On descend les escaliers et on marche vers l'air sud du château. Mais où est ce qu'il m'emmène?

Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant