Chapitre 60

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La poussière se dissipe petit à petit tandis que je masse mes poignets douloureux. Devant moi, un grand homme de dos au cheveux blonds. Du sang coule de ses mains, et de longue griffe noir ont remplacés ses ongles. Le trou dans le mur dans face et énorme et au dessus de nos tête, les murs menaces de ce détruire.

Le roi d'Italie se lève en riant. Je m'approche d'un pas de Zaïmyr, il se retourne vers moi brusquement, manquant de me faire sursauter;. Je m'arrête nette en voyant ses yeux. Ils ne sont pas doré où rouge mais entièrement noir. Tout mon corps se crispe. C'est bien la première fois que je le vois comme ça.

- Reste où tu es.

Je recule d'un pas. Même sa voix est grave et plus menaçante que d'habitude. Il se retourne vers le roi qui montre ses dents avec ses yeux rouge. Ils sont tous les deux grands mais le roi d'Italie est un peu plus petit. Zaïmyr reprends:

- Je devrais te tué. Toucher la promise d'un vampire n'est pas chose correct ,alors en plus de ça,  tu te permet de toucher la promise d'un roi? Après avoir posé tes mains sur la mienne, tu veux la mordre?

Je sens encore un vent froid me parcourir l'échine. Je me tourne pour regarder Amar et sa femme. Zaïmyr se dirige rapidement vers le roi d'Italie et le prends par le col. Le roi d'Italie rigole nerveusement. Il semble complètement... Sous drogue?

- Oh mais il faut partager un peu. Tu as une source de nourriture qui t'appartient totalement, en plus, son sang à l'air délicieux.

Amar prend la parole.

- Zaïmyr! Lâche Erman!

Zaïmyr n'écoute pas son frère et lui donne un coup de poing au visage qui le fait cassé les meuble du salon derrière. Je peux juste voir avec ma torche par terre. Amar essaye de prendre son frère par le bras mais celui ci le pousse bien loin.  Le corps d'Amar s'écrase violement dans un mur non loin de moi. Je sursaute. C'est vraiment violent.

Je regarde la femme d'Amar sans comprendre tandis que celui ci se lève. Hamia prend la parole.

- Il est interdit de toucher la promise d'un vampire à quelque exception près. M'explique-t-elle

Ah, c'est pour ça qu'il est énervé? Je pensais que le faite que Zaïmyr est dit à certaines personnes de ne pas me toucher était juste par possession. On ne touche pas à ce qui m'appartient. Mais non, cette idée de ne pas toucher la promise d'autrui est vraiment encré dans la société vampirique. 

Il part prendre le roi d'Italie et lui donne un coup dans le ventre. Beaucoup de sang sort de la bouche de celui-ci pour atterrir à terre. Il faut faire un truc. Je ne pense pas que sa soit judicieux de tué le roi d'un autre pays.

A ce que j'ai lu dans les livres, la plus part des hommes qui gouverne sont des vampires. Il y a très peu d'humain roi maintenant. Je souffle et me dirige vers lui qui s'apprête à donné un coup à l'autre qui c'est encore levé. Le roi Erman le provoque et je sais à quel point il déteste ça vu que je le fais moi même.

Je me mets devant lui, sa main s'arrête à quelques centimètres de mon visage.  Je vois la femme du roi allé vers lui. Je me racle la gorge et ancre mes yeux dans les siens. Son souffle est lourd et ses canines sont dehors.

- Tu peux arrêter, s'ils te plaît? Tu vas me couper l'appétit.

Ben quoi? J'ai la dalle là, et voir du sang n'est appétissant. Il me regarde un moment, je vois ses yeux redevenir doré tandis qu'il se frotte les mains. La reine d'Italie prend la parole.

- Mais qu'est ce que vous lui avez fait !?

Zaïmyr me regarde avant de se tourner vers son frère qui nous regarde à tour de rôle.

- Pardon, Amar.

- Pas grave.

Je me tourne vers les souverains d'Italie, la femme donne son sang à l'autre avant de sortir du salon pour dévisager Zaïmyr.

- Comment osez vous frappez un roi!?

Zaïmyr rigole nerveusement.

- Dites a votre roi que la prochaine fois que ses mains oseront se posé sur ma promise, je ne le raterai pas.

Elle regarde Zaïmyr avant de regarder son roi. Je souffle tandis que les pierres du mur se mettent à voler. Les meubles du salons se reconstruisent pour être neuf comme le mur. Le mur et le papier peint sont comme neuf, comme si il ne c'était rien passé.

Mon ventre me rappelle à l'ordre et je vois Zaïmyr et les souverains d'Angleterre me regarder.

- Quoi? J'ai dit que j'avais faim, mon ventre me rappelle que je réclame de la nourriture et qu'il va continuer si je ne le nourri pas. Vous ne pouvez pas connaitre ça, vous buvez que du sang. Franchement monotone.

Zaïmyr pouffe de rire tandis que son frère et sa femme me regarder excéder. Amar prend la parole.

- Oh, pauvre de mon petit frère...

Zaïmyr secoue la tête et m'invite à avancer vers la cuisine.

- Ouais, viens mademoiselle avant que ton ventre ne réclame encore une fois de la nourriture comme tu le dit si bien.

Je lui sourit. Amar prend la parole.

- Dès demain, vous retourner dans votre pays. Je ne veux plus vous voir ici, roi et reine de l'Italie.

Ils partent et je rentre dans la cuisine avec le roi. J'allume la lumière tandis qu'il part s'assoir sur une chaise. Je réfléchis à ce que je peux préparer de rapide. Des pâtes carbonara tiens. Je sens encore une fois des mains se poser sur ma taille.

Je frisonne, cette fois ci. Il me retourne et pose sa main sur ma nuque pour me faire pencher la tête. Il passe son doigt sur ma nuque avant de prendre mes poignet. Il soulève mes manches pendant que je remet ma tête droite.

Il regarde mes poignets qui sont rouge, mais vraiment. Il souffle et embrasse mes poignets où il y a mes veines. Mon cœur accélère un peu et je reprends ma respiration pour me calmer. En plus, il l'entend. Il ne lève pas les yeux pour me faire remarquer que mon cœur palpite quand il me touche. Si il le faisait, je suis sûr que je serais rouge de honte. 

Je ne peux même pas m'en empêcher, le pire. Il me laisse commencer mon repas et quelques minutes après, je finis et mange pendant qu'il me tient compagnie dans un silence apaisant.

Guerre de sang, TOME 1. ( En réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant