Chapitre 50

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Derrière Mark à moto, mes mains se faufilent sous sont t-shirt et je caresse sa peau du bout des doigts. Je reste néanmoins soft, ce serait con qu'on ai un accident. Il se gare devant la maison et nous nous précipitons à l'intérieur. A peine on passe la porte que nos bouches se soudent l'une à l'autre. Notre baiser est fiévreux, endiablé, il reflète le désir que nous éprouvons l'un pour l'autre. Nous avançons à l'aveuglette bien trop pris par notre étreinte et là, mes fesses butent contre le billard. Mark me soulève et me pose dessus.

Sa bouche se perd dans mon cou. Il dévore ma peau comme un mort de faim. J'attrape le bas de son t-shirt et lui retire. Il en profite pour faire de même avec mon débardeur. Sa bouche repart à la conquête de mon corps. Il défait les nœuds de mon haut de maillot de bain qui retrouve nos haut au sol. Il embrasse, lèche et mordille mes tetons durcis par le désir. Mes mains quittent ses cheveux et son dos, pour caresser son torse de dieu grec. Ces coquines descendent toujours plus bas pour s'attaquer à sa ceinture et les bouton de son jean. Ils cèdent facilement dû à l'érection poussée de mon homme. Je le descends sur ses cuisses avec son maillot de bain qu'il porte toujours en dessous. Il se secoue les jambes et tente de les retirer, mais il galère. On s'est sauté dessus tellement vite qu'il a encore ses baskets et ça coince. Il peste la bouche dans mon cou et arrive à de débarrasser de ses chaussures et ses vêtements.

Puis s'attaque à mon short, il m'en débarrasse vite ainsi que de mon bas maillot de bain et mes baskets. Ses doigts effleurent mon intimité déjà bien humide, alors que sa bouche retrouve la mienne. Très franchement, on est en plein milieu du salon, sur le billard, les autres pourraient rentrer, mais je m'en contrefous. Là, ce que je veux c'est Mark, je veux le sentir en moi, je veux qu'il me possède. J'attrape son membre tendu à l'extrême et le caresse. Il en fait de même glissant un doigt en moi. Je gémis contre ses lèvres. J'enroule ensuite mes jambes autour de sa taille et le fait me pénétrer. Je sais qu'on a pas mis de capote mais tant pis, j'ai un implant contraceptif depuis des années.

Lorsque qu'il est entièrement en moi, je lâche un profond soupir de plaisir et lui grogne légèrement. Doucement, il commence de profond mouvement de bassin. Ses va et vient font monter mon plaisir crescendo, je sais que je ne vais pas tarder à jouir. La jouissance me surprends telle une vague déferlante. Je me sens me resserre sur membre imposant. J'accompagne ses mouvement en ondulant du bassin. Je vois ses épaules se tendrent, il va jouir. Il atteint l'orgasme au moment ou une deuxième explosion de plaisir m'envahit. Toujours en moi, il laisse sa tête tomber sur ma poitrine. Nous reprenons lentement notre souffle. Puis je pouffe de rire.

Mark: Qu'est-ce qui te fait rire mon ange?

Moi: Regarde où on est.

Mark: Et dire que tu voulais pas de ce billard. Tu vois, il est sympa.

Moi: Oui mon amour, je l'adore maintenant. Par contre, si les autres savent ce qu'on vient d'y faire, ils vont le virer en vitesse.

Mark: Possible, on va éviter de leur dire dans ce cas.

Il se retire et me soulève pour me descendre de la table de billard.

Mark: J'avais trop envie de toi et visiblement j'étais pas le seul, mais Sacha, on a...

Moi: Pas mis de préservatif, je sais... J'ai un implant contraceptif et aucune MST. Et si on allait prendre une douche maintenant...

Je dis ça en me mordant la lèvre, mutine. Il sourit et ramasse nos affaires avant de me suivre de ma chambre.

Nous nous glissons sous ma douche et ses mains parcourent à nouveau mon corps avec volupté. Ses caresses sont d'une douceur folle, j'en perds la tête. Je sens déjà mon désir revenir au galop. Je me mets sur la pointe des pieds et dévore ses lèvres avec envie. Il attrape ma nuque et approfondit notre baiser. Sa langue se fait conquérante, elle entraine la mienne dans un ballet sensuel. Lorsque ma bouche quitte la sienne, elle se pose dans son cou ou je lèche les gouttes d'eau qui ruisselle sur sa peau. Je lui mordille le lobe de l'oreille et un râle de plaisir s'échappe de sa gorge. Ma bouche, ma langue et mes mains se font plus aventureuses. Elles descendent le long de son torse, dessinant le contour de ses muscles saillants. À genoux dans ma baignoire, je me retrouve à la hauteur de son pénis fièrement dressé. Je passe doucement mon index tout du long.

La musique fait partie de toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant