Chapitre LX : Plus d'impliqués qu'on ne le croit part.II

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Azura :

Si mes souvenirs sont bons, ce fut l'une des pièces enfermées à clef. Son bureau est la deuxième. Alors je suis partir dans l'optique d'avoir une discussion avec lui, ne sachant pas si il allait continuer à m'éviter ou même si la porte était ouverte. Je céda à la contemplation de sa chambre pendant que j'y mets un pied. Grâce à la lumière du jour, j'y discerne les différents types de couleurs. Je remarque que la couleur des murs est vert émeraude. Un vert splendide, qui fait ressortir un tableau d'art abstrait au sommet du lit. C'est magnifique. Je remarque la largeur de son lit, légèrement plus grand que celui dans lequel je dors. Voici la pièce dans lequel il passe ses nuits. J'en suis presque jalouse de savoir que ce lit a touché toutes les parties de son corps. Son odeur est proéminente. Avachie sur le mur, une armoire, d'un bleu galactique matte se dresse. Suivit en continue d'une bibliothèque de huit étages dominant ce béton. Émerveillée, j'aimerai m'en aller à la beauté et la conséquente bibliothèque qu'il obtient, avec mérite. J'aimerai la toucher du bout des doigts, par l'immensité de ce monde imaginaire. Qu'est ce qui s'y trouve ? La penderie derrière lui est aussi grande que la mienne. Je pense. Néanmoins, les couleurs ne fussent pas pour autant. Les seules couleurs vivent que j'arrive à entrevoir sont le blanc de ses chemises. Je n'imagine pas comment les placards doivent être rangés. Si bien alignés. Sans que rien ne dépasse. Les costards sont dans les couleurs du plus clairs, qui part d'un blanc autant qu'un nuage, d'un gris pluvieux, à un noir de la couleur du ciel le soir ou de ses iris lorsqu'il est enragé. Un maniaque du contrôle. Je me fais violence pour cesser de regarder sa chambre. Je suis dans son intimité. Et je suis même étonnée qu'il ne m'ait pas remballé directement après avoir prit l'initiative de monter ici, au deuxième étage. Prise d'une audace que je ne soupçonnais pas de ma part. je dépose mes fesses sur son lit king size en croisant les bras. Je veux ma réponse. Enzo se décide d'avancer d'un pas. Pour me mettre dehors, sûrement. Je me concentre sur ses mouvements. Calmes. Lents. Avant de se mettre à ma hauteur, toujours en serviette. Je déglutis.

- Dernier avertissement.

- Je ne change toujours pas d'avis.

Il s'approche de mes lèvres et les effleure. Si brièvement que j'en ai le temps de les sentir réellement. Il passe ses mains sous ma jupe, sur mes jambes, attendant un gémissement de ma part que je ne tarde à lui donner. Il m'embrasse la joue, effleure mon lobe de sa lèvre inférieure et je ferme les yeux en expirant d'aise. Je ne dois pas oublier pourquoi je suis ici.

- Pourquoi est-il plus simple pour toi de tout remettre au sex que de...juste parler ?

- Nous parlons la tu ne le vois pas ?

De ses mains d'expertes, il abaisse ma jupe, ainsi venant faire la rencontre de ma culotte rouge, sang. Je ne remercierai jamais assez Sinara pour avoir fait, ma penderie, de fond en comble. Il s'abaisse à mes jambes et vient les embrasser toutes deux. Son souffle me consume horriblement, se rapprochant de ma zone sensible, par moment. Je me cambre lorsque son visage s'arrête sur cette partie, la où son souffle continue encore et encore à me narguer. Plus envieuse que jamais, je me mords la lèvre. Je le veux. Enzo ne cesse de continuer à m'embrasser sans en toucher aucune partie de ma zone. Il remonte à mon visage, mon cou, mon oreille. Je gémis, lui ordonne du souffle de me goûter. « Je t'en prie. » lui dit mon corps. Il embrasse la naissance de ma mâchoire avec délicatesse, l'arrière de mon oreille, puis l'autre pour s'arrêter face à moi.

- Dis...dis moi ce qui ne va pas.

- Ne gâche pas ce moment.

Il pose ses mains sur ma culotte avant de la baisser délicatement. Mon bassin laisse le passage à mon tissu de sorte à ce qu'elle rencontre le sol. Peu après, son doigt fait la rencontre directe de mon clitoris. Je gémis doucement en m'approchant de son cou par la contraction de mes muscles. Il augmente la pression et la vitesse aussi vite que je cligne des yeux, puis ralentis pour me narguer encore. Putain...putain. Il le tourne, joue, le malaxe pour mon plus grand bonheur. J'essaie de garder les yeux ouverts mais cette pression ne cessant de grandir lutte avec mes paupières. La boule dans mon entre jambe rentre en fusion avec mon esprit. Il s'éloigne de mon cou quelque seconde après, avant de grogner. Puis frôla mes lèvres.

Maudis-MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant