Je descends mes lèvres vers ses jambes et embrasse chaque millimètre de son anatomie. Azura agrippa les draps de ses mains. Elle rougit.
- Touche toi lance-je dans son oreille.
- Quoi ? laisse-t-elle échapper à court de souffle.
- T'as bien entendu.
- Mais...La ? Maintenant ?
Je souris avant de me lever et me mettre face à elle. J'enlève délicatement mon col roulé et le dépose sur la chaise. Azura essaie de voir en moi si je viens à lui faire une blague. Mais je n'ai jamais été aussi sérieux. Elle se redresse délicatement afin de laisser tomber sa culotte par terre. Je descends le regard vers sa chatte pleine de mouille. Puis je souris. Joie de savoir l'état dans lequel je l'ai mise. Elle dépose sa main sur son clitoris et joua avec elle même, en mordant sa lèvre inférieure pour camoufler son excitation.
- Je ne veux pas que tu sois silencieuse.
Elle s'arrêta puis me regarde.
- Et pour les gardes ?
Je me mir au dessus d'elle, avant de mettre sa main ou elle fut il y'a quelques secondes.
- Qu'est ce que j'ai dit ?
Elle opine en libérant sa lèvre de ses dents. Azura se tord de plaisir. Elle dicte sa propre cadence. Je parsème son cou de baiser. Je soulève son tee-shirt pour lécher ses seins. Je coince son téton dans mes dents et tire. Azura gémit plus fort. Lorsque sa respiration se fait plus courte et que son thorax se soulève, je comprends qu'elle s'apprête à venir.
- Cesse.
Elle fronce les sourcils en hochant négativement. Serait-il de nouveau entrain de me défier ? J'empoisonne sa main de la mienne.
- Pourquoi ? grogne-t-elle.
- Pour avoir menti et levé les yeux au ciel le long de la semaine.
Je m'engouffre à l'intérieur de ses cuisses, après lui avoir enlevé son tee-shirt, pour venir la goutter. Je ne tarde pas à la sucer à mon tour, de son amas de chair si sensible. Azura dépose ses mains sur mes cheveux en tremblant. Difficilement. Je balada mes mains sur ses seins. Elle resserra les jambes. Je frappa l'intérieur signe qu'elle doit les ouvrir de nouveau. Elle exécute lorsque je fis des ronds délicieusement mouillés sur son clitoris. Elle est tellement bonne.
- Je vais jouir.
- Laisse moi réfléchir encore un peu.
Je souris donc, avant de sentir que son ventre se contracte. Ses mains se resserrent sur mes cheveux.
- J'en peux plus Enzo.
- Trois.
Je sens ses jambes s'accaparaient à moi. Son crie m'appelle. Désespérément.
- Deux.
Sa mouille se mélange à ma bave. Elle est délicieuse.
- Je t'en prie...s'essouffle-t-elle.
- Un.
Je la fais languir de longues secondes qui lui paraissent interminables. Mes secondes ne sont pas vraiment exactes. Je fais perdurer le moment. Pour la sentir m'appeler, moi.
- Enzo ! me gronde-t-elle, presque.
- À qui tu appartiens ?
- À toi.
Je souris.
- Jouis.
Sans même attendre un dernier mouvement, ses yeux transpercent les miens et elle se noit dans le bonheur de la lubricité. Ainsi, elle se libère. Sur ma langue. Sur mes lèvres. Ma bite n'en peut plus. Elle en jalouse tout le monde. Je me redresse en essuyant son excès sur mes lèvres lorsqu'elle respira, essoufflée. Peut-être, mal à l'aise de ce qu'il vient de se produire elle remet ses cheveux derrière ses oreilles en riant légèrement. Elle réalise. Elle a joui pour la première fois.
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Maudis-Moi
RomanceLa vie n'épargne peu de gens. Si ce n'est pour dire : Personne. Les aléas de la vie en détruisent certains et en reconstruisent d'autres. Mais que se passerait-il si deux âmes, brisés, pourtant si différentes, de prime abord, viendraient à se rencon...