Chapitre LXIV : Comportement inexplicable

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Personne ne parle, sous mes gémissements de douleur de temps à autre, avant qu'il ne recouvre mes plaies de deux pansement transparents pour mes paumes. Il lâche mes mains et je les rapproche de ma poitrine. En colère contre lui pour ses sourires. En colère pour ses contacts physiques avec elle.

- Pourquoi m'as-tu repoussé toute à l'heure ?

- Je ne t'ai pas repoussé.

- Un mensonge ?

Je grogne dans ma barbe, prise dans un cul de sac.

- Il n'y a rien à redire dessus. Bonne nuit !

Je n'ai a peine le temps de me retourner que j'ai la vision à l'envers.

- Tu ne cesses de jouer avec mes couilles Azura. Et à force de trop y jouer, on en paie les conséquences.

Nous arrivons dans ma chambre avant qu'il ne me pose, avec peu de délicatesse sur le lit. Inconsciemment, je mordille ma lèvre, prête à le défier avant qu'il lève un sourcil. Il me tourne brusquement lorsque j'hoquète de surprise, la tête à moitié sur le coussin. Enzo déchira ma robe à des milliers de dollars. En passant ses mains sur mon dos.

- Enzo ! La robe !

Il baisse ma culotte après avoir cambré mon postérieur. Il joue avec le tissu de ma culotte pendant que je me tortille.

- Ne bouge pas.

J'exécute avant qu'il ne me fesse par surprise. Une fois puis une seconde fois. J'halète. J'ai chaud. Je suis colériquement envieuse de son corps. Ma lèvre mordillait, il dépose sa main sur le creux de mes reins et enfonce son pouce son clitoris, mouillée à souhait. Il n'est pas délicat, me punit. Putain qu'est ce que j'aime ça.

- J'ai toute ton attention ?

- O...oui.

- Que les choses soient claires. Je ne t'autorise pas à prendre une telle initiative comme celle prise ce soir. Mais je ne sais pas ce qui m'énerve le plus être ton acte ou ses mains posaient sur tes hanches.

Mon corps réagit rapidement à ses mouvements. Mes jambes tremblantes, la sueur perlant son mon front. Mes forts gémissements sont étouffés par le coussin. Je le veux. Lui.

- Par la suite, tu me mens. C'est à croire que tu aimes te faire punir.

- Je vais jouir Enzo. Bordel... tremble-je lorsqu'il accélère la cadence.

- Tu sais bien que tu ne peux pas.

- Je t'en prie.

Il enlève ses doigts, je couine frustrée avant de sentir sa langue chaude me manier à présent. Je crie et m'engouffre dans le coussin. Enzo grogne durement entre mes lèvres intimes et me goute comme il sait bien le faire.

- Tu comprends ?

J'hoche la tête avant qu'il ne me fesse pour m'avertir de le formuler à voix haute.

- Ou...oui.

- Maintenant dis moi.

- La ? Maintenant ? grogne-je.

Maudis-MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant