Chapitre 23

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Ma nuit n'a pas encore été des plus paisible. Théo m'a tendrement câliné avant Jusqu'à ce que je m'endorme et je me sentais bien dans ses bras, vraiment. Je me sentais en sécurité et protéger, puis dans la nuit, j'ai cauchemardé. Mon chéri dormait comme une souche près de moi et j'ai essayé de me blottir à nouveau contre lui. Pourtant, rien à faire, le malaise qui m'étouffait ne faisait que grossir alors, j'ai pris un Xanax et comme je ne sentais pas les effets, j'en ai pris un deuxième à peine vingt minutes après. Là seulement, j'ai commencé à me détendre.

Je suis réveillée par un doux baiser sur mes lèvres. Théo est penché vers moi et me regarde avec amour.

Théo : Bonjour ma puce... Je ne voulais pas te réveiller, tu avais l'air si paisible, mais il est 10h et avec tout ce qu'on veut voir.

Normal que j'avais l'air paisible, je suis shootée aux anxiolytiques.

Moi : Non, t'as bien fait. On n'est pas venu jusqu'à New York pour passer nos journées au lit.

Théo : Ouais, quoique... maintenant que tu le dis, passer la journée au lit avec toi me tenterait bien...

Moi : Je te rappelle que tant que tu as tes points, c'est moi qui dois faire tout le travail pendant les câlins.

Théo : Tout le travail ? Ah bon ?

Sans crier gare, il plonge sous la couette et ses lèvres posent sur mon ventre tandis que ses mains remontent sous ma nuisette pour caresser ma poitrine. Je laisse échapper un hoquet de surprise et pouffe de rire quand je l'entends grogner sur ma peau. La seconde d'après, il commence à me retirer mon shorty avec les dents. Enfin, je pense puisque ses mains s'occupent toujours de mes seins.

Il baisse ma culotte jusqu'à mi-cuisse et sa langue se pose sur mon intimité. Il dévore ma féminité comme un mort de faim, tout en faisant rouler mes tétons durcis entre ses doigts. Le plaisir monte en flèche et je vais pas tarder à jouir. Là des coups résonnent à la porte, mais je n'y prête même pas attention. Je suis dans un autre monde, celui de la volupté et de plaisir charnel.

Moi : Oui...

Je ne parviens pas à retenir mon gémissement alors que la langue de me petit ami joue avec mon bouton de chair.

??? : Room service.

La voix de l'homme derrière la porte me semble parvenir de très loin et c'est là que Théo choisi pour me pénétrer avec deux de ses doigts.

Moi : Je viens... je viens...

Mon homme recourbe ses doigts titillant mon point G et j'explose. Fier de lui, il sort de sous la couette, attrape le peignoir de bain et va ouvrir la porte me laissant haletante. Le groom qui ne parait pas se douter de ce qu'il vient de se passer entre et laisse son petit chariot dans un coin avant de repartir aussi vite qu'il était entré.

Théo : le petit dej, super, j'ai trop faim.

Moi : Quoi t'as encore faim...

Mon regard lascif le fait rire. Il est vraiment très beau, surtout avec ce petit rictus en coin. Je me lève et m'approche de lui. Tandis que je l'embrasse, je dénoue la ceinture du peignoir. Une belle bosse déforme son boxer. Mutine, je lui mords le cou et glisse ma main dans son sous-vêtement. Il lâche un râle super sexy.

Théo : Ma puce... Tu...

Moi : Chut, j'en ai envie...

Je laisse glisser ma bouche le long de son torse parfaitement sculpté et m'agenouille devant lui. Je baisse son boxer et prends directement son membre en bouche. Son sexe palpite sur ma langue, je le sens tout proche. J'accentue un peu mes caresses, jouant avec ses testicules en même temps. Mais, il ne me laisse pas le conduire à l'orgasme et se retire. Il me relève et me plaque contre le chariot du room service dos à lui. En écartant mon shorty sur le côté, il prend possession de moi. Notre petit déj est renversé par ma poitrine qui fait tanguer le chariot. C'est puissant, rapide et intense... Il jouit si fort que je le sens exploser en moi. Il s'effondre sur mon dos et nos souffles sont chaotiques.

L'ombre du corbeauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant