Voyons, qu'est-ce qui marche à chaque fois que je manque de sombrer dans mon marasme perso... le sexe... Je sais que nous sommes dans un lieu public, mais je m'en moque royalement. Théo fait toujours son possible pour me distraire et ben cette fois, c'est mon tour. Et puis, je dois avouer que faire l'amour là où l'on peut être surpris est un de mes fantasmes. Je glisse la tête hors du rideau et mon chéri tourne maintenant comme un lion en cage.
Moi : Théo, Chéri, tu peux venir me donner un coup de main avec la fermeture éclaire.
Il ne dit rien, mais s'approche de la cabine. En attrapant les pans de son manteau, je l'attire à l'intérieur. Je le plaque contre le miroir et l'embrasse avec fougue. Il semble surpris, mais me rend mon baiser avec passion. Je glisse mes mains sous son pull et caresse son torse. En mettant fin à notre baiser, je mordille sa lèvre inférieure.
Théo : Mais...
Je pose mon index sur ses lèvres et l'embrasse dans le cou en ouvrant son jean.
Moi : J'ai envie de toi, là, maintenant, tout de suite.
Je lui susurre ces mots à l'oreille avant d'en mordre le lobe. Je glisse ma main dans son boxer et effleure son sexe qui durcit sous mes doigts. Il lâche un léger râle que j'étouffe de mes lèvres. Ses lèvres glissent ensuite dans mon décolleté alors qu'il me retire mon tanga. Il me plaque le dos contre le miroir et remonte un peu ma robe tandis que baisse son pantalon et son boxer sous ses fesses. Il attrape ensuite une de mes cuisses qu'il remonte sur sa hanche et d'une poussée, il est en moi.
Notre étreinte est rapide, puissante et... désespérée... Mon homme s'accroche à moi comme si j'étais sa bouée de sauvetage au milieu d'un océan déchaîné. Presque autant que les vagues de plaisir qu'il me donne. Nos bouches se scellent pour avaler les gémissements l'un de l'autre. Sa main qui ne tient pas ma cuisse malmène mes seins à travers le tissu de la robe. Pour ma part, j'empoigne ses deux fesses bien rondes et musclées.
Nous jouissons en même temps puis le calme revient dans la cabine d'essayage. Ma tête contre son torse et la sienne dans mes cheveux, nous reprenons notre souffle et nos esprits. Tout à coup, son torse est secoué de spasme. Doucement, je lève la tête vers lui et il explose de rire.
Théo : Je crois qu'on a plus qu'à acheter cette robe. Du peu que j'ai pu voir, elle te va bien.
Je secoue la tête en levant les yeux au ciel.
Théo : J'espère qu'il n'y a pas de caméra de surveillance dans les cabines d'essayages. Je ne voudrais pas me retrouver sur YouPorn.
Moi : On verra bien si les flics nous arrêtent à la sortie du magasin pour attentat à la pudeur.
Il rit de plus belle et je préfère le voir comme ça. Il remonte son boxer et son pantalon et quitte la cabine discrètement. Je remets mon tanga et dégrafe l'accroche du dos nu, mais quand je veux ouvrir la robe... J'y crois pas, la fermeture est réellement coincée cette fois... Je passe à nouveau la tête par le rideau.
Moi : Théo, chéri, tu peux venir m'aider avec la fermeture éclaire.
Théo : Encore ma puce ?
Il s'approche avec un sourire coquin.
Moi : Désolée de te décevoir, mais cette fois, c'est vrai, elle est vraiment coincée.
Il rit et je me place sur le côté pour qu'il m'aide. Une fois la robe ouverte, je me change rapidement. Je vérifie que notre câlin n'a pas abîmé la robe et teste la fermeture, là, elle marche, c'est tout bon.
Dans le centre commercial, je me suis aussi acheté une paire d'escarpin, parce que la robe de soirée avec les baskets, c'est pas top. Maintenant cap sur Atlantic City...

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L'ombre du corbeau
Любовные романыMary Hopes est une barmaid sans histoire. Mais un jour, sa vie va basculer quand un très beau jeune homme va pousser la porte du bar. Avec les sentiments et l'engagement dans une relation suivi vient aussi le début des galères. L'amour est-il plus f...