Protezione e Amore [EN RÉÉCRITURE]

Le mariage (pt2)

Le mari nous avez pas encore remarqué mais moi, j'avais eu le temps d'analyser son visage. Il avait l'air très aigri. Au fur et a mesure que le temps passé, les gens rentrait dans la salle a côté de celle de tout a l'heure. On rentra alors a notre tour. La salle était énorme et il y avait une grande piste de danse au milieu, tout était bien décoré et il y avait déjà de "l'ambiance" avec la musique qui résonnait dans les enceintes. Le mot ambiance n'était cependant pas le meilleur car c'était des musiques pas connu et qui était approprié pour un enterrement plus qu'autre chose. On regarda ensuite les table.
- putain, y'a un plan de table.
Cody avait raison. Il y avait un plan de table ce qui était logique vue le nombre d'invités. J'espérais seulement ne pas être avec des inconnus.
On fouilla toute les tables non occupé pour trouver la notre. Une fois chose faite, on remarqua que Fred n'était pas avec nous. C'était pas plus mal sinon il allait encore nous rabâcher d'être plus discret.
Je m'installa a côté de Warren et de Hazel.
On était seulement tout les cinq a notre table et tout au bout de la salle. 
Warren commença à se plaindre.
- je creve la dalle putain.
Tout le monde était d'accord avec lui.
Le problème c'était que c'était un mariage complètement chiant. Au lieu de lis faire manger, il avait préféré mettre une heure de danse.
On avait pas bouger de nos chaise. On était d'ailleurs les seuls. Tout les autres étaient sur la piste.
Comme je commençais vraiment a le faire chier, je décida de me lever.
- tu fais quoi ?
- je vais danser.
Les filles me suivirent après s'être rendu compte que c.etzit out ce qu'on avait a faire. A peine on c'était approché de la piste que des regards se tournèrent vers nous. Le marié qui ne nous avait pas encore remarqué, cette fois nous remarqua plus que bien.
Je cru même l'ente dre dire a sa femme, "ces femmes sont des salopes."
On avait rien fait de mal pourtant, personne nous avait dit que l'on avait pas le droit de porter du blanc.
On commença à danser sans se soucier des autres.
Ils pouvaient bien penser ce qu'ils voulaient, de tout manière j'étais pas prête de les revoir.
On s'amusait pas énormément, on passait plus le temps qu'autre chose.
Une fois qu'on eu passé assez temps, on retourna a table. J'avais envie de boire et c'est donc seulement a ce moment là que je remarqua qu'il n'y avait aucun verre rempli sur cette table. Je regarda les autres table. Évidemment il y avait tout les verres de rempli.
- vous avez pas soif ?
Il me répondirent limite tous en coeur.
- si.
Le problème était qu'il n'y avait aucune bouteille d'apparente.
- bah, on va aller boire l'eau des toilettes alors.
Au même moment le mari passa devant nous. Il me jeta un regard noir.
Louis tenta une approche un peu plus aimable que moi.
- pourriez vous nous dire où ce trouve à boire ?
Il le regarda d'un air hautain.
- dans les toilettes.
Et il parti.
Warren semblait plus qu' agacé. Déjà qu'il l'était pas mal avant d'y aller.
Il se tourna vers moi puis le reste de la table.
- en s'barre ?
C'était clairement le mieux à faire.
- j'en ai bien envie.
Le reste était mitigé mais il céda vite à la tentation.
- oui, on s'barre.
Comme le mari de balader entre les tables.
On décida tout de même de lui dire au revoir.
J'étais devant avec Warren, les filles et Louis avaient voulu passer au toilette. Je restais convaincu que c'était pour ne pas dire au revoir.
On s'approcha de lui et il nous toisa encore une fois du regard.
Warren prit la parole.
- nous avons décidé de partir, bonne soirée.
Il ne réfléchissa pas longtemps avant de nous sortir le coup de grâce.
- ouais c'est ça, barre toi avec ta pute, je suis sur qu'elle est bonne qu'à être baisée.
Les poings de Warren se serrent immédiatement et il commença a s'approcher de l'homme marié.
Il voulait se battre. La y'avait pas de doute.
Le marié reculé à mesure que Warren avançait. Ça allait mal finir et en même il l'avait bien mérité.
Ce qui me poussa à stopper dans son élan ce fut le regard du Fred. Et là je compris que personne n'avait entendu que l'homme m'avait traité de pute mais que tout le monde allait croire que Warren et un connard bagarreur qui cherche la merde.
Je pris alors le poignet de Warren et je le tira un peu en arrière. Il se tourna vers moi le visage baigné de colère.
- il a dit que t'étais bonne qu'à-
- je sais mais c'est pas grave, on va partir et plus jamais le revoir.
Je le tira vers la sortie.
Les mots ne l'avais me pas fait mal. Être bonne qu'à être baisée et assez banal quand on a entendu un inconnu nous dire qu'on a "juste" subi des attouchements.
On passa près de la porte de sortie et là, quelques choses intercepta mon regard.
Une multiprise branchée a la prise électrique et l'interrupteur pour la lumière.
Je regarda Warren qui avait eu la même idée que moi. Sans plus réfléchir, il il prit la multiprise à laquelle était branché de multiples chose et il tira dessus en même temps que moi j'éteignais la lumière.
Il n'y avait plus de musique, plus de lumière non plus et sûrement deux trois frigo en panne.
D'un coup un gros silence se fit entendre.
Warren prit ma main dans le noir et on partit de cette salle maudite.
On avait au moins saboté le mariage d'un con.
C'était la meilleure leçon à tirer de cette soirée.