Chapitre 79

121 7 0
                                    

Elle avait tiré...
La peur me submergea. J'étais sur qu'elle avait tiré sur Warren.
J'ouvris brusquement les yeux.
Un énorme soupire de soulagement sortis de ma bouche.
Warren étais toujours debout, devant moi stoïque. Il se tourna rapidement vers moi. Il me pris dans ses bras tout en me bloquant la vue en plaçant sa main sur mes yeux.
- t'es pas obligé de voir ça, t'en a déjà beaucoup vu aujourd'hui.
Le fait qu'il veuille encore me protéger me mis du baume au cœur mais je voulait quand même savoir ce qu'il c'était passé.
- laisse moi voir quand même s'il te plais.
Il enleva sa main de mes yeux et je découvris la scène. Ma belle mère était couché au sol, elle reposait dans une énorme flaque de sang.
Elle venait de se tirer dessus. Elle c'était suicidé.
Je regarda Warren. Il avait un sourire sadique sur les lèvres ce qui dit naître le même sur mes lèvres.
Warren c'était un peu détendu mais je voyais sur son visage qu'il était inondé par une sentiment de culpabilité. Sa haine semblait s'être apaisée, en même temps vu la boucherie qu'il avait provoqué en tuant tout les gardes, sa haine avait dû bien s'évacuer. Je n'avais pas vraiment regardé les corps, l'odeur de sang m'avait suffit à comprendre qu'ils étaient bien mort.
Warren plongea son regard dans le miens, j'eu subitement envie de l'embrasser mais il rompu le eyes contact en s'éloignant pour fermer la porte du sous sol. Je ne compris pas se qu'il faisait jusqu'à ce qu'il ramasse les deux armes et qu'il m'en tendu une. Je me rappela alors que mes trois violeurs étaient toujours vivants.
- un petit laser game irl ?
Je souris de toute mes dents.
- prête !
Il a attrapa ma main libre avec sa main libre et il déposa un bisou sur mes phalanges. Ce petit geste fit fondre mon cœur.
Il lâcha ensuite ma main pour prendre son arme avec ses deux mains et je fit de même.
On s'élança dans les recoins du sous sol un peu plus caché. Je n'avais pas remarqué mais il était vraiment énorme et il y avait des endroits en bazar parfait pour se cacher. Ces cons de violeurs avait sûrement pensée qu'on allait partir en les oubliants mais c'était mal connaître Warren et moi. On commença par le fond à droite. De loin, on savait déjà qu'il en avait deux. Décidément ils n'avaient rien dans le cerveau. Un petit bout de leur crâne dépassé d'une planche.
Je me tourna vers Warren.
- on a les balles illimités ?
Il me regarda en souriant.
- évidemment, tu peux louper ta cible autant que tu le veux.
- tu me connais mal Warren.
Pour prouver mes paroles, je visa le tout petit bout de la tête au clodo qui dépassé. C'était ambitieux de ma part, il y avait un périmètre de seulement environ dix centimètres et j'étais assez loin. J'essaya tout de même.
Je visa.
Coupa ma respiration,
Et je tira.
- et bah putain.
J'avais pas loupé ! En plein dans le mille.
On entendu le clodo  tomber.
Ma précision du faire peur à son copain car l'autre clochard sortit de sa cachette en nous suppliant de l'épargner.  Comme si il m'avait épargné moi...
On allait bien s'occuper d'eux.
 
                                ********

Dans la voiture, sur le trajet pour rentrer chez nous, 22h00.
Warren roulait pour qu'on rentre à l'appartement.
Aucun de nous ne parlait, il n'y avait pas non plus de musique. A un moment, il se tourna vers moi.
- tu veux qu'on se promène un peu en ville ?
Je souris toute seule, cette idée me plaisais bien.
- ouais, j'aimerais bien.
Warren rejoignis une grande route et il accéléra. On allait à une vitesse fulgurante. Je connecta mon téléphone sur les enceintes de sa Lamborghini et le son Las Vegas de Jok'air se mit à fond dans l'habitacle. Ça me fit décompresser directement. Warren me regarda et je distingua un sourire, dehors il faisait nuit et mais les lumières de la villes éclairées assez l'intérieur de la voiture. Je lui rendis son sourire. Les musiques défilaient et notre voiture aussi. La chanson Empire State of mind se lança et je ne pu m'empêcher de chanter a plein poumon, contre toute attente Warren me suivis dans mon élan. Nous nous somme retrouvé à chanter à en perde la voix tout les deux. Ça me fit oublié tout les problèmes que j'avais rencontré ces derniers temps. Ce sentiment ne fut que plus fort quand Warren s'apprêta à poser sa main sur ma cuisse.
- je peux ?
Je ne répondu même pas, à la place je pris sa main et je la posa sur ma cuisse qu'il pressa doucement et qu'il caressa de son pouce. Ce moment était l'un des plus parfait de ma vie.

Warren et moi étions rentrés chez nous après notre longue balade.
J'avais pris une douche pendant une bonne heure. J'avais frotté bien plus fort que d'habitude et plus longtemps, et ensuite je m'étais rincé avec de l'eau brûlante pour essayer d'enlever toutes les traces des mains sales posé sur mon corps car contrairement à la première fois où j'avais vécu des attouchement, cette fois j'était bien consciente. Je rejoignis Warren dans le canapé, naturellement, il se redressa et m'ouvrit ses bras pour que je puisse me réfugier à l'intérieur ce que je fit immédiatement. Il resserra ses bras autour de moi. Ma tête était posé sur son torse et mes bras s'enroulèrent autour de sa taille. Il posa ses lèvres sur le haut de ma tête pour y déposé un bisou.
C'était comme si rien ne c'était passé entre nous, comme si je n'avais pas créé une embrouille, c'était même comme si on était dans une relation. On avait pourtant jamais abordé le sujet de ce qu'on était réellement. J'étais donc sur un petit nuage malgré tout ce qu'il c'était passé c'est dernier 24 heure.
- tu sais Ashley, je voulais te reparler du message.
Mon nuage s'éclata.
- c'est pas la peine Warren.
- si, parce que tu n'a pas lu le message en entier, et je veux que tu le vois.
Il me tendit hésitant son téléphone.
Je lu le message.

Coucou Warren, je sais que ça fait longtemps mais tu me manque, on pourrait se revoir un jour, je compte sur toi, bisous, jtm malgré que tu m'ai menacé de mort.

Il avait menacé une femme ?
Warren pris mon menton entre ses doigts pour me forcer à relever la tête vers lui.
- cette fille, c'était l'histoire d'une nuit, avant que je te rencontre, j'étais bourré et après être sortis de boite en avait ken. Je sais pas comment mais elle avait chopé mon num, depuis j'avais beau la bloquer elle me renvoyer toujours des messages d'une façon ou d'une autre, alors quand j'ai commençais à eprouv- bref je l'ai menacé de mort pour qu'elle arrête sérieusement. Je suis désolé Ashley.

Quand il a eprouvé... je me doutais bien de la suite mais j'allais attendre qu'il me le dise les yeux dans les yeux.

Je me redressa et pour l'avoir bien en face de moi je me mis à califourchon sur lui.

- c'est moi qui suis désolé Warren, je me suis emporté pour rien, j'ai pas voulu t'écouter, te laisser parler. Si je t'avais écouté rien de tout ça ne serais arrivé, alors ne culpabilise jamais.

Un faible sourire étira ses lèvres.

- tu n'aurais jamais dû vivre ça, je devais te protéger, c'était une promesse.
Il baissa la tête, comme honteux de lui. Je pris sa tête entre mes mains et je le força à me regarder.
- tu m'a sauvé la vie Warren, tu m'a sauvé des mains sale posé sur moi, tu m'a sauvé de la mort qui serais sûrement arrivé si tu n'étais pas venu. Tu n'a peut être pas empêcher d'arriver ce qu'il c'est passé comme tu le souhaiterais mais tu ne m'a pas laissé tomber, tu a fait du mieux que tu a pu et ça, c'est tout ce que je retiens.
Une larme s'échappa du coin de mes yeux en repensant à ce que je m'imaginais. Comme quoi Warren ne viendrais pas, qu'il ne m'aimait pas du tout.
Au final Hazel et Cody avait raison. Il ferait tout pour me protéger.
Un sourire étira ses lèvre. Il essuya mes larmes et il m'attira contre lui. Je nicha mon nez dans le creux de son cou.
- j'ai quelque chose à te dire Ashley.
Je releva la tête intéressait.
- je t'écoute.
- euh, je suis pas très à l'aise. C'est la première fois que ça m'arrive...
Je lui souri pour l'encourager à continuer.
- je crois, enfin je suis sûr même, je suis amoureux de toi.
Les battements de mon cœurs s'accélèrent, un sourire pris forme sur mon visage, si il s'avait que je ressentais la même chose que lui. De l'amour.
Il me regarda fixement en attendant que je dise quelque chose.
- bah parle s'il te plaît, je comprend pas la.
- moi aussi je suis amoureuse de toi War-
Je n'eu pas le temps de finir ma phrase, ses lèvres se plaquèrent brusquement contre les miennes dans un baiser brûlant, brutale, passionnée.
Nos langues se mélangeait, plus rien ne comptait, on s'aimait c'était le principal.

Protezione e Amore [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant