Chapitre 13:

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20 avril 2025Arabie saoudite

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20 avril 2025
Arabie saoudite

Je me réveillai avec un sentiment de malaise.

La nuit précédente était floue, remplie de désirs conflictuels et de regrets.

Vivian dormait encore à côté de moi, sa respiration régulière me saoule. Je me passai une main sur le visage, essayant de chasser les images de la nuit.

Vivian bougea à côté de moi, ouvrant les yeux lentement. Elle se tourna vers moi, un sourire satisfait sur les lèvres. Mais son sourire s'évanouit rapidement lorsqu'elle se souvint de quelque chose.

-Lando... dit-elle d'une voix accusatrice. Enfin cette nuit, quand nous avons baisé suite à la présence de cette salope tu as gémi son putain prénom.

Je me figeai, sentant la culpabilité m'envahir.

-Vivian, je...

-Comment tu peux faire ça ? continua-t-elle, sa voix s'élevant. Je suis là, avec toi, et tout ce à quoi tu penses en me baisant c'est à elle !

-Excuse-moi de ne pas penser à toi, Vivian. Mais la vérité, c'est que... j'ai zéro attirance pour toi, tu ne m'attires même pas.

-Tu es insupportable, Lando. Je mérite mieux que ça. Tu vas pas chialer si un jour tu perds ton siège car je te rappelle qu'on se connaît depuis que tu te bagarres dans des clubs, tu picoles de même et tu te tapes tout ce qui bouge et là tu te comportes comme un petit ange parce que tu commences à avoir des putain de sentiments pour la salope du paddock.

Je la détestais.

Non.

Je me déteste.

Je baissai les yeux, incapable de répondre. Elle avait raison, elle méritait mieux

-Je suis désolé, Vivian. Vraiment.

Elle se leva brusquement du lit, ramassant ses vêtements éparpillés.

-Je m'en vais, Lando. Réfléchis bien à ce que tu veux vraiment.

Je la regardai partir, sentant le poids de mes erreurs peser sur mes épaules. Une fois seul, je restai assis là, perdu dans mes pensées.

Pourquoi était-ce si compliqué ?

Pourquoi ne pouvais-je pas simplement suivre ce que mon cœur me dictait sans blesser les autres ?

Je savais que je devais parler à Elena.

Je me lève du lit, je me dirigeai vers la salle de bain.

L'eau chaude de la douche coulait sur mon corps, apaisant brièvement la douleur des bleus et des ecchymoses. Je passai mes doigts sur une large marque violette sur mon torse, me rappelant les coups reçus de la part d'une personne que je considérais autrefois comme proche.

𝐓𝐫𝐚𝐜𝐤 𝐑𝐢𝐯𝐚𝐥𝐬 // 𝐋𝐚𝐧𝐝𝐨 𝐍𝐨𝐫𝐫𝐢𝐬 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant