Love will save me

Chapitre 57

HELLOOOOOOO !!!!

IL S'AGIT DU CHAPITRE QUE VOUS ATTENTIEZ TOUS/TOUES !!!

alors bonne lecture et accrochez-vous, je vous aime ✨🩵

Zack

Je les observe un par un, sans ne rien comprendre. J'espère de tout cœur qu'il ne s'agit pas de ce que je pense. Je serre les poings et tente malgré tout de rester zen et de contrôler cette colère qui jaillie en moi.

—    Qu'est-ce que vous faites ici, tous les deux, dans les chiottes ?

—    On va tout t'expliquer, marmonne Kaïlie.

J'entre alors un peu plus dans la pièce et me tiens prêt à défoncer la gueule de Tom.

—    En fait c'est pour ça que tu as refusé que je t'accompagne, craché-je.

Je suis dégouté et tellement blessé.
Kaïlie, pas toi.

—    Mais pas du tout, pour qui tu me prends ?! s'énerve-t-elle.

—    Pour une femme que je ne connais pas depuis si longtemps, finalement.

Je soupire, tandis qu'elle me fixe avec les sourcils baissés.

—    Kaïlie... ? demandé-je désespérément.

J'ai pourtant besoin de réponses, mais elle préfère rester muette.

Les doigts de Tom glissent sur son bras. Le bras de MA copine.

—    Je viens d'avouer à Tom. Je lui ai dis de qui il s'agit, admet-t-elle avec du mal et une petite voix.

—    Pardon ?

Je suis extrêmement surpris. Et moi, je ne sais encore rien, à l'heure qu'il est.

—    Cela m'a semblé beaucoup plus facile qu'avec toi et je ne veux pas que tu m'en veuilles. Au fond, je n'ai pas fait ce choix, Zack.

Elle jette un œil vers Tom et ce dernier lui sourit tristement. Qu'est-ce qu'il se trame ?

—    Parce qu'il a connu le même monstre que le mien.

Je sens l'un de mes sourcils se lever. Je ne comprends rien.

—    Bon, tu vas me dire à la fin ? m'impatienté-je.

—    C'est Angelo, mon Zack.

Aucune larme ne coule de ses yeux. Elle se détache de Tom et s'approche enfin de moi, les mains en avant.

—    C'est lui.

Puis elle prend mon visage entre ses mains et colle son front au mien.

—    Angelo ? Celui que je connais ? demandé-je comme un imbécile.

Des Angelo, ça ne court pas les rues.
Elle acquiesce et ce geste fait remuer son parfum que je renifle agréablement.

—    Le seul et l'unique. Il s'en prend à moi depuis que je suis arrivée. Dès la première soirée que j'ai passé en sa compagnie. Depuis, il ne m'a plus jamais laissé tranquille.