POINT DE VUE AMELIA
La nuit, la veille de la rentrée
Je suis en train de marcher dans la forêt. J'aime bien marcher seule la nuit, j'ai l'impression que tous mes sens sont en éveil. Oui bon dit comme ça c'est bizarre de marcher dans la forêt en pleine nuit mais ça ne l'est pas pour un loup-garou. Oui j'ai bien dit loup-garou. C'est une histoire plutôt compliquée en faite. J'étais en voyage en France. J'étais en train de rentrer à mon hôtel quand je me suis faite attaquer par une bête sauvage et je me suis évanouie. Quand j'ai repris connaissance j'étais dans un sous-sol et un homme est entré, il m'a expliqué qu'il était un chasseur et que je m'étais faite mordre par un loup-garou. Sur le coup je ne l'ai pas cru, jusqu'à ce qu'il me montre la bête qui m'avait attaquée, c'était un homme avec le visage complètement transformé, je n'arrivais même pas à savoir si c'était vraiment un homme. Mon ravisseur s'est présenté, il s'appelait Christopher Argent. Il a voulu passer un marché avec moi, soit je devenais leur espion ou je ne sais pas quoi soit il me tuait. J'ai donc accepté sans me rendre compte dans quoi je m'embarquais et j'ai passé plusieurs mois là-bas à essayer de me contrôler, quand j'ai enfin réussi un autre homme plus vieux nommé Gérard m'a demandé de tuer celui qui m'avait mordue. L'alpha. Je l'ai fait trop désespèrée de ne jamais quitter cet endroit. Je suis alors devenue une alpha, j'étais donc plus puissante qu'avant. Puis ils m'ont laissée partir en me disant que dès qu'ils auraient besoin de mon aide ils me le feraient savoir. Mais je ne les ai plus revus et j'ai essayé tant bien que mal de m'habituer à ma nouvelle vie. Même si ce n'est pas toujours facile. Mon téléphone se met à sonner et je sais déjà qui c'est. Je réponds.
Moi : - Qu'est-ce qu'il y a Martin ?
Lydia : - Je voulais juste savoir si tu avais une tenue pour demain.
Moi : - Pourquoi ? C'est juste la rentrée pas la cérémonie des Oscars.
Lydia : - Parfois je me demande comment tu peux être ma meilleure amie.
Moi : - À cause de mon humour et de mon sarcasme légendaire ?
Lydia : - Ou alors c'est parce que tu connais tous mes secrets et que je ne veux pas que tu les révèle à tout le monde.Je ris. Lydia et moi on s'est rencontrées au jardin d'enfant et nos mères ont sympathisé, depuis on est inséparables et on fait tout ensemble. Elle est comme ma sœur jumelle. Bon c'est vrai qu'à un moment on s'est disputées à cause de Stiles Stilinski. Ce garçon est vraiment trop mignon mais bien sûr c'est Lydia qui lui plaît. Il n'y a qu'à voir son comportement quand Lydia est à proximité. Il la regarde et la suit tout le temps. Mais de toute façon je ne pourrai jamais rivaliser contre ma petite blonde vénitienne alors j'ai juste.....laissé tomber. Et puis Lydia n'est pas au courant que je suis un loup-garou, je ne lui ai pas dis parce que j'avais trop peur de sa réaction.
Moi : - Ne t'inquiètes pas j'ai une tenue.
Lydia : - Laisse tomber je t'en ai trouvé une.
Moi : - Lydia.
Lydia : - Quoi ? Je te connais et je sais très bien que ta fameuse tenue est imaginaire.
Moi : - Et ça c'est la raison pour laquelle je suis amie avec toi.Elle rit à son tour. Soudain j'entends des sirènes de police. Pourquoi la police est dans la forêt à cette heure-ci ?
Moi : - Lydia je dois te laisser.
Lydia : - Ok mais tu passes chez moi pour prendre ta tenue.
Moi : - Je fais le plus vite possible.Je raccroche et je cours en direction des bruits. Quand j'arrive je vois plein de voitures de police. J'écoute la discussion des deux policiers.
Le premier : - Deux joggeurs ont trouvé la moitié d'un corps.
Le deuxième : - Une moitié ? Mais où est l'autre ?
Le premier : - C'est pour ça qu'on est là.D'un coup un chien vient vers moi et m'aboie dessus. Je grogne et fais mes yeux rouges ce qui le calme et il s'éloigne.
Moi : - Gentil toutou.
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Teen Wolf - Une Alpha Amoureuse [EN RÉÉCRITURE]
FanfictionSalut tout le monde je m'appelle Amelia Stewart, j'ai 16 ans et j'habite à Beacon Hills depuis.....toujours. Ma meilleure amie Lydia Martin est la fille la plus populaire du lycée. En fait si on ne se connaissait pas depuis le jardin d'enfant je pen...