Teen Wolf - Une Alpha Amoureuse [EN RÉÉCRITURE]

Chapitre 148

PDV AMELIA

Je suis dans la forêt. Comment j'ai atteris ici j'étais dans la chambre de Stiles il y a à peine quelques minutes. J'ai peut-être fait un crise de somnambulisme. Il vaut mieux que j'y retourne sinon Stiles va s'inquiéter si il s'aperçoit que je ne suis plus là. Je commence à marcher quand soudain je sens une douleur atroce dans ma cheville. Je crie et la regarde. Elle est prise dans un piège comme ceux que le père de Malia utilisait. Je me penche vers lui et j'essaie de l'enlever mais je n'y arrive pas. Mais j'entends un bruit près de moi. Je me retourne et je vois un homme avec un fusil s'approcher de moi. Oh non pas ça pas maintenant. J'essaie à nouveau d'écarter le piège mais je n'y arrive pas. L'homme s'apprête à tirer quand soudain il se fait projeter sur le sol plus loin par quelque chose. Je regarde où il est et je vois un loup qui est en train de le déchiqueter. Mais je connais ce loup ou plutôt cette louve c'est...moi.

Moi : - Qu'est-ce que-
....... : - Amelia ?

Je me retourne. C'est Stiles.

Moi : - Stiles ?

Mais soudain la louve se redresse et le regarde. Je sais ce qu'elle veut faire.

Moi : - Non....pas lui !

Elle s'avance doucement vers lui en grognant et j'essaie à nouveau d'enlever le piège.

Moi : - Ne lui fais pas de mal ! Pas à lui ! Arrête !

Mais soudain elle se jette sur lui.

Moi : - Non !

Je me redresse en criant. Deux bras s'enroulent autour de moi.

....... : - Amelia calme-toi !

Je continue de crier et je me débats.

....... : - Amelia c'est moi Stiles je suis là !

Je me calme légèrement et le regarde. C'est lui. Il va bien. On est tous les deux dans son lit.

Stiles : - C'était un cauchemar. C'est fini.

Je soupire de soulagement et je le prends dans mes bras. Je le serre contre moi.

Stiles : - Je suis là.

Qu'est-ce que ce cauchemar était sensé vouloir dire ? Que je risque de faire du mal à Stiles ? Non ça ne peut pas arriver. Je ne peux pas m'en prendre à lui.

Plus tard

Je me suis calmée dans les bras de Stiles et il s'est rendormi quelques instants après en pensant que je dormais. Je me retourne pour être face à lui et je regarde son visage. Il est tellement mignon quand il dort. Je remets une de ses mèches de cheveux en place et je caresse son visage. Je ne pourrais pas supporter de lui faire du mal. Je me lève, je vais devant la fenêtre et je regarde le ciel, j'aime bien faire ça c'est temps-ci pour me vider l'esprit. Ce n'était qu'un cauchemar. Ce n'était qu'un simple cauchemar.

Plus tard

Stiles se réveille et se redresse d'un coup.

Moi : - Je suis là Stiles.

Il se tourne vers moi.

Stiles : - Tu es réveillée depuis combien de temps ?
Moi : - Je ne sais pas je dirais...quatre ou cinq heures.
Stiles : - Et tu es restée devant la fenêtre pendant tout ce temps ?
Moi : - Ouais.

Il se lève et vient en face de moi.

Stiles : - Ça va ?
Moi : - Oui. C'est juste que je n'arrivais pas à me rendormir et-
Stiles : - Je ne te parlais pas de ça.

Je souris légèrement.

Moi : - Tu l'as dis toi-même Stiles. Ce n'était qu'un cauchemar.
Stiles : - Je sais très bien ce que sont capables de faire des cauchemars Amelia.
Moi : - Je vais bien ne t'inquiètes pas.

Je me force à lui sourire et j'allais partir vers la salle de bain mais il attrape mon poignet et me retient.

Stiles : - Amelia.

Je me tourne vers lui.

Stiles : - Tu n'iras pas bien si tu n'en parles pas. Tu t'es réveillée en criant alors ne me dis pas que c'était un simple cauchemar parce que je sais que ce n'est pas le cas. Donc...raconte moi.

Je soupire et je vais m'asseoir sur le lit. Il vient s'asseoir à côté de moi.

Moi : - J'étais dans la forêt et il faisait nuit. C'était tellement réaliste que....j'avais l'impression d'avoir fais une crise de somnambulisme et d'avoir atteris là-bas. J'ai voulu revenir ici alors j'ai commencé à partir mais un piège s'est refermé sur ma cheville et un homme est arrivé. Il avait un fusil et le pointait sur moi. Il allait tirer quand elle est arrivée.
Stiles : - Qui ça ?
Moi : - Moi. Enfin la moi louve. Elle s'est attaqué à lui et elle l'a réduit en pièce. Et puis c'est là que ça a empiré.
Stiles : - Pourquoi ?
Moi : - Parce que tu es arrivé ?
Stiles : - Moi ?
Moi : - Toi.

Je revois les images.

Moi : - Elle t'a regardé et elle a commencé à s'approcher de toi. J'étais complètement paniquée, je lui disais de te laisser tranquille et de ne pas te faire de mal mais elle continuait d'avancer et j'essayais de me libérer du piège pour l'arrêter mais je n'y arrivais pas et elle continuait de s'approcher de toi en grognant et d'un coup elle s'est jetée sur toi et...

Je baisse la tête. Arrête ça Amelia tu es une sigma. Un prédateur dangereux et redoutable pas une gamine de huit ans pleurnicheuse. Je me ressaisie aussitôt et je regarde Stiles.

Moi : - Je me suis réveillée. Et tu connais la suite.
Stiles : - Ouais.
Moi : - J'y ai pensé tout le reste de la nuit. Et si ce rêve était une sorte de message de mon subconscient ?
Stiles : - Comment ça ?
Moi : - Tu te souviens que tu m'avais dis que quelque chose était différent chez moi ?
Stiles : - Ouais.
Moi : - Je t'ai dis que ce n'était pas le cas mais en faite ça l'est. Depuis la maison du lac je me sens différente. Je suis plus forte, plus impulsive et...bref je ne suis plus comme avant. Et j'adore ça. J'aime me sentir différente mais...peut-être que la partie différente de moi veut s'en prendre à toi.
Stiles : - C'est ridicule Amelia tu ne me feras jamais de mal et ce n'est pas un cauchemar qui changera ça-
Moi : - Stiles je me suis vue sous ma forme de loup en train d'essayer de te tuer. Si ça ce n'est pas un avertissement je ne sais pas ce que c'est.
Stiles : - C'est un cauchemar.
Moi : - Il y a deux minutes tu disais que-
Stiles : - Que ce n'était pas un simple cauchemar oui je sais. Mais je sais aussi que tu n'essaieras pas de me tuer.

Je lui souris légèrement.

Moi : - Si tu le dis.

Il me sourit.

Stiles : - Ne t'inquiètes pas tu ne te débarrasseras pas aussi facilement de moi.

Je me force à rire et il m'embrasse. Puis il se lève et part dans la salle de bain. J'espère qu'il a raison. Je me laisse tomber sur le lit. Aujourd'hui je dois aller avec lui et Lydia voir Parrish pour lui dire qu'il est sur la liste. Je n'ai pas envie d'y aller, m'occuper d'un adjoint qui ne sait pas ce qu'il est c'est la dernière chose à faire sur ma liste de priorités. Franchement à quoi ça servira d'y aller ? On va lui dire qu'il est sur une liste de gens à tuer, il nous conduira à Meredith et ensuite ? Elle refusera de nous aider j'en suis sûre et on en reviendra à notre point de départ. Mais bon Stiles et Lydia veulent tenter le coup alors je la fermerai et je les aiderai comme d'habitude.
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Voilà pour le chapitre 148. J'espère qu'il vous a plu, n'hésitez pas à commenter et à voter.