Teen Wolf - Une Alpha Amoureuse [EN RÉÉCRITURE]

Chapitre 159

PDV AMELIA

Ma grand-mère me regarde toujours sans comprendre puis elle se tourne vers Deucalion et son visage se décompose.

Ma grand-mère : - Deucalion.
Deucalion : - Nadia.

Je vois qu'elle se souvient mieux de lui que de moi.

Ma grand-mère : - Qu'est-ce que tu fais avec lui Amelia ? Il est dangereux.
Moi : - Non il ne l'est pas.
Ma grand-mère : - Tu ne sais pas ce qu'il est. C'est un monstre.
Moi : - Le seul monstre que je connais ici c'est toi.

Elle me regarde aussitôt.

Ma grand-mère : - Comment oses-tu ?
Moi : - Tu as déjà oublié la dernière fois qu'on s'est vu ? Ça t'arrange bien ça.
Ma grand-mère : - Tu n'es pas venue me voir depuis.....depuis...
Moi : - Depuis huit ans. Tu ne t'en souviens pas ? Tu as lancé un couteau sur moi alors que je n'avais que neuf ans.
Ma grand-mère : - Ce n'était pas aussi grave que ça.
Moi : - J'aurais pu mourir.
Ma grand-mère : - Mais tu es vivante.

Je sers mon poing pour me retenir d'exploser de rage.

Deucalion : - On est venus vous parler. Est-ce qu'on peut entrer ?
Ma grand-mère : - Jamais vous n'entrerez chez moi.

Elle se tourne vers Deucalion.

Ma grand-mère : - Tu l'as eu elle aussi. D'abord ma fille et maintenant elle.
Deucalion : - Je n'ai rien fais.
Ma grand-mère : - J'aurais dû te tuer quand j'en avais l'occasion.
Deucalion : - Nadia vous êtes malade vous avez un problème.
Ma grand-mère : - Je vais très bien c'est toi qui est dangereux. Amelia cet homme est un loup-garou. Tu entends ? C'est un tueur qui dévore ses victimes et bientôt c'est toi qu'il tuera.

Mes griffes sortent et s'enfoncent dans la paume de ma main.

Moi : - Ce n'est pas un tueur.
Ma grand-mère : - Tu ne connais pas les loups-garous comme moi.
Moi : - Je les connais parfaitement.
Ma grand-mère : - Non tu ne les connais pas tu n'es qu'une petite idiote inconsciente qui aime se mettre en danger comme ta bonne à rien de mère.

A ces mots je n'arrive plus à me retenir. Mes crocs sortent, mes yeux deviennent rouges et je rugis contre elle.

Moi : - Ça suffit !

Elle me regarde tétanisée. Je m'avance vers elle et elle recule.

Moi : - Alors écoute-moi bien. Je te préviens tout de suite pour moi tu n'es plus qu'une simple folle cinglée qui a fais du mal à une petite fille de neuf ans qui ne te connaissait pas. Mais tu sais quoi ? Maintenant je te connais, je ne suis plus une petite fille et tu ne me feras plus jamais aucun mal. Je ne suis pas venue ici pour une simple visite de courtoisie, si ça ne tenait qu'à moi je ne serais jamais venue mais j'ai besoin de te poser des questions alors tu vas me répondre sinon je te préviens je serai moins gentille que maman à l'époque.

Elle se cogne contre le mur derrière elle et me regarde apeurée.

Ma grand-mère : - Très bien. Qu'est-ce que tu veux savoir ?

Je me calme aussitôt. Ça me fait de la peine d'un côté de la voir dans cet état à cause de moi mais elle n'est plus la grand-mère que j'ai connu depuis très longtemps et je n'ai pas d'autre choix que de me comporter de cette façon avec elle. D'après ce que m'a dis ma mère il faut se comporter avec elle comme-ci c'était une inconnue maintenant.

Deucalion : - On devrait aller s'asseoir.

Je me tourne vers lui.

Ma grand-mère : - Allons dans le salon.