Commande Newt pour Nina

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Je mourrais littéralement de chaud. L'été était enfin arrivé au bloc et avec lui le soleil, la chaleur et les moustiques.

Nous avions tous réclamé à Alby des jours de congés pour profiter du soleil et ne pas subir les heures de travail sous quarante degrés. Il avait été catégorique : aucun congé possible, excepté pour les coureurs. On ne pouvait tout simplement pas se le permettre. En revanche il nous avait cédé un aménagement de nos horaires. On avait désormais une pause déjeuné bien plus longue même si nous travaillons plus tard pour rattraper.

En ce moment même, j'étais donc en train de profiter de cette longue pause déjeuner avec Teresa, allongée au soleil près du lac, vêtue d'un maillot de bain.

- J'ai décider d'avouer à Thomas qu'il me plaisait, déclara ma meilleure amie.
- Tu charries ? m'exclamai-je en me redressant sur les coudes pour pouvoir l'observer.
- Et non. Et je ne changerai pas d'avis, je lui dis ce soir. Ou demain. Il faut quand même que je trouve le moment approprié.
- J'aimerai bien avoir autant de courage que toi, jamais j'oserai.
- Comment ça tu "oseras jamais" ? Mais ma petite tu ne vas pas avoir le choix ! Une fois que Thomas et moi on sera ensemble, tu seras inondée par l'amour qui émanera de nous et tu ne pourras pas résister. Tu fonceras vers Newt pour tout lui avouer, il te prendra dans ses bras, te diras que c'est réciproque et on sera les deux couples les plus heureux du bloc !
- T'as vraiment tout prévu, riais-je.
- En parlant du loup, regarde qui approche.

Je regardai en face et vis Thomas et Newt avancer vers nous. Teresa me lança un clin d'oeil complice.

- On vous manque déjà les garçons ? demanda Teresa en souriant.
- Oh moi ça va, mais Newt n'arrêtes pas de me parler de Nina depuis tout à l'heure alors je ne le supportai plus, expliqua Thomas en s'asseyant aux côtés de la brune. C'est pas contre toi Nina.

Je souris. Newt parlait de moi à Thomas. Mon mode de fille amoureuse venait d'être enclenché, je devenais niaise. Temps pis.

- Mais Nina, regardes tes épaules t'es toute rouge ! s'exclama Teresa.
- Abuses pas, c'est pas non plus rouge écrevisse. Plutôt un petit rouge saumon fumé. Ça passe encore si je met de la crème.

Je pris le tube posé a côté de moi et appliquai la crème sur l'ensemble de mon corps. Alors que je me demandais comment j'allais atteindre mon dos,  je croisai le regard diabolique de Teresa qui n'avait

[Merci à celles qui m'ont fait remarquer qu'une partie de l'imagine avait disparu. Je pensais que l'histoire ne s'affichait tout simplement pas, mais non ! Tout a été supprimé ! Je ne sais pas comment c'est possible. Bref, ça me gonfle et je suis vraiment désolée de vous laisser là dessus, j'essaierais de réécrire la fin. Bisous et encore désolé :/]

Recueil d'Imagines - Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant