Imagine - Gally

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"- Allez, bouges tes fesses et viens m'aider !
- Oui oui, j'arrive ! Je finis de passer le balai !
- T'es trop lente ! Ah ta place j'aurai déjà eu le temps de le passer deux fois"

Bah t'as qu'à le faire toi même si t'es pas content.

Depuis 6 mois que tu étais arrivée au bloc tu travaillais en cuisine avev Fry. C'était un garçon super sympa, gentil et drôle : un vrai nounours. Mais il avait son caractère et qu'est ce qu'il pouvait être chiant par moment ! Et là c'était un de ces moments.
Travaillant ensemble, vous passiez beaucoup de temps tout les deux. Fry était devenu ton meilleur ami. Tu t'étais confiée, il y a de cela quelques jours, sur les sentiments que tu éprouvais pour un certain bâtisseur et depuis Môssieur trouvait amusant ton embarrassement face à ses taquineries.
Tous les autres blocards étaient encore dans la pièce d'à côté à déjeuné pendant que vous deviez ranger et nettoyer la cuisine pour ensuite préparer le repas du soir. Et il se trouve que Frypan c'était levé du pied gauche et qu'il semblait avoir décidé qu'aujourd'hui tout serait de ta faute.

"- Tu passeras le balai quand je n'aurais plus besoin de toi ! Tu prendras sur ta pause, là viens essuyé les assiettes !
- T'as oublié quelque chose.
- Tu fais chier ! Viens essuyer ces assiettes, s'il te plaît.
' Bien sûr Fryounet, avec plaisir. J'arrive tout de suite, repondis-tu avec un sourire innocent accroché aux lèvres."

Tu posas ton balai et te postas à côté de lui pour essuyer la vaisselle qu'il te tendait. Il avait de la chance d'être ton meilleur ami, sinon tu n'aurais pas supporté ses sautes d'humeurs.
Une fois cette tâche fini, il s'adressa à toi :

"- Je vais prendre ma pause, désolé [Y/N] mais tu pourras prendre la tienne seulement quand tu auras finis, dit-il avec un sourire d'excuse."

Tu soupiras et repris ton balai pour finir ce dans quoi tu fûs interrompue un peu plus tôt. Tu entendis la porte se réouvrir mais tu ne te retournas pas.

"- Cest bon Fry, j'en ai pas pour longtemps. Je t'en veux pas mais si tu pouvais éviter de me reparler comme tu l'a-
- Je t'arrêtes tout de suite c'est moi, pas Poêle, te coupa celui qui venait d'entré.
- Gally ? Demandas-tu en te retournant. Qu'est ce que tu veux ? Désolé mais il n'y a pas de rab, ajoutas-tu en souriant.
- Je ne suis pas venu pour le rab.
- Alors que me vaut cet honneur de t'avoir dans la cuisine de Fry ?

Tu ris et repris ton activitée.

- J'ai vu que Poêle-à-frire prenait sa pause mais je t'ai pas vu sortir des cuisines alors... bah je venais voir quoi, conclue-t-il en se grattant la nuque. T'as besoin d'aide ?

Tu relevas la tête pour le regarder avec de grands yeux.

- Tu vas bientôt reprendre ton boulot, je vais pas te demander de travailler en plus de ce que tu fais déjà.
- C'est moi qui te le propose.

Il y eût un silence de quelques secondes pendant lequel vous vous regardez dans les yeux. Et quels yeux il avait !

- Il... Il y a juste le plan de travail à ranger, tu le désignas d'un mouvement de la tête. Je m'occupe du reste."

Gally aquieça en souriant et se mit devant le plan de travail que tu avais désigné. Il inspecta tout les produits et ustensiles qui s'y trouvaient en fronçant des sourcils. Tu ne pûs te retenir de rire en voyant sa bouille contrariée.

- Quoi ?

Il te regarda avec un mélange d'incompréhension et de colère ce qui te fit rire de plus belle.

- C'est ma tète qui te fait rire ?
- Exactement !

Il parut légèrement surpris alors que tu riais toujours. Tu posas ton balai -décidément, ça attendrait encore un peu- et allas le voir.

- Ça, dis-tu déjà plus calme en prenant un louche et une cuiller en bois, ça se met là.
- Et ça ?
- La farine c'est dans le placard au dessus de ta tête. Non fais gaffe ! Tu tiens le paquet à l'envers !

Tu réussis à redresser le paquet de farine juste à temps en te penchant en avant, en equilibre sur la pointe des pieds. Ton corps était déjà plus proche de celui de Gally et vos mains tenaient toutes les quatres le paquet. Tu le lâchas en t'en rendant compte. Il y eût un moment de flottement entre vous pendant lequel tu sentis une tension monter. Tu déglutis et te retient de t'humidifer les lèvres. Une main forte veint te tenir fermement par la taille et une autre derrière la nuque alors qu'il se rapproche brusquement de toi. Tu n'as pas le temps réagir qu'il plaque ses lèvres contre les tiennes en même temps qu'un voile opaque blanc vous recouvre. Lorsque vous vous séparez, tu ne peux pas te retenir de rire en voyant sa tête blanche et en imaginant la tienne. Il ne tarde pas à te rejoindre.

Tu n'étais pas prête de prendre ta pause s'il te fallait tout re nettoyer !



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Je suis contente de vous retrouver !
J'espère que cet imagine vous plaira :)

Je n'avance pas bien vite danses commandes je m'en excuse..

Si vous avez l'envie ou le besoin de parler des événements à Paris, faites le dans la partie précèdente, pas ici.
#PrayForParis

À samedi prochain avec un imagine sur Minho ;)

Bye ~

Recueil d'Imagines - Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant