9ème partie : Un ami

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-9-

Mina.

Mincha : tu veux me faire croire que t'es là avec Ahmed sans arrière penser

Moi : tu me déçois beaucoup j'ai 11 ans, je ne me prends pas la tête, c'est juste mon ami.

Mincha : je te crois pas.

Moi : tu sais quoi? Tais-toi, je t'ai assez entendue. C'est la patronne qui dit ça.

Mincha : oui et elle dit que je suis meilleure que toi, que je suis sa préféré.

Je vais au salon et gifle la patronne devant toutes sa famille, la patronne fait seulement deux têtes de plus que moi donc c'était assez facile.

Cozila : qu'est-ce que tu fais ?

Moi : donc moi, j'ai 11 ans et toi, t'as 40 ans ou quoi et tu ose m'inventer..

La patronne : mais elle est malade celle..

Cozila : chut laisse moi faire.

Il me prend par le bras et se mets à me frapper, c'est tout ce qu'ilq savent faire.

Cozila : maintenant ose encore t en prendre à ma femme et cette fois-ci, je te t'étranglerais de mes mains.

Il me lâche après m'avoir bien tapé, j'ai été assez bête sur ce coup, j'ai juste vu rouge et j'ai juste pensé à frapper cette sorcière.

La patronne se met à rires.

... : papa, c'est qu'une enfant, lâche-là, c'est maman qui s'est comporter comme une enfant.

Cozila : tu veux que je te frapper, Jean.

Jean : désolé.

Je me relève avec difficulté et jure sur Cozila, de tous les insultes que je connais puis je pars en courant dans ma chambre en pleure.

Mincha rentre dans la chambre, non pas encore.

Mincha : tu l'a mérite fallait pas frapper La Patronne. J'espère tout de même qu'il ne t'as pas tapé fort.

La je ne me retiens plus, je me lève jette mon coussin sur elle, elle ne bouge.

Moi : tais-toi et va t'en.

Je prends son sac et lui jette dessus, il était assez lourd donc ça lui a fait mal.

Mincha : aïe.. mais...

Je m'apprête à lui lancer la lampe mais elle s'en va rapidement.
Je m'allonge sur mon matelas, épuisé, je m'endors façon il faisait presque nuit.

[...]

... : Mina.

Moi : hmm mama t'es t'es revenu.

Mama : oui c'est moi Mina, mon enfant, je t'aime, ne l'oublie pas et relève toi, ne les laisse pas te détruire comme il l'ont fait avec moi.

Moi : mais mama t'es ?

Mama : c'est...c'est Françoise.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant