75eme partie : Le déchet de l'après-guerre.

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-75-

(Omniscient)

Il y avait une femme sur un toit, de là, elle pouvait voir le ciel bleu du matin, elle se croyait la reine du monde et oublier ses problèmes, tout autour était calme, c'est comme si le monde s'était arrêté, il n'y avait qu'elle, elle et sa peine immense, des larmes coulaient doucement dans ses joues, la ville où elle a vu le jour lui manquait, tout lui manquait, malgré la douleur, le traumatisme, elle voulait une chose y retourner et elle allait tout faire pour y retourner, elle en avait marre d'être morte, elle voulait revivre mais comment une morte peut revenir à la vie?

Cette femme.

Flashback.

Je m'étais retrouvé au première étage, je ne savais pas où était ma mère ni où était Françoise, j'avais juste peur, les flammes couraient vers moi quand je vois mon père qui regarde au loin, je me retourne et voit ma mère qui le regarde aussi.

Moi : maman c'est moi, Mina, viens vers moi.

Elle me regarde dans les yeux, ses yeux se bordent de larmes et elle se retourne vers un endroit où la maison était bien en feu et se jette dans les flammes.

Moi : MA... MAMAAAAAAAAAAAAA...

Je criais de toutes mes forces, je voulais l'a rejoindre mais mon père m'attrape et m'oblige à rester avec lui, petit à petit, je ferme les yeux et depuis ce jour, je me suis réveillé dans une ville inconnue ensuite on m'a enfermé dans un endroit que je ne connais pas avec des souvenirs flou très flou.

(Omniscient)

Elle se lève et descend du toit de cet établissement, parfois le calme lui faisait peur comme la solitude, tous ces traumatismes qui lui tenait éloigner du monde, toute ces illusions prenait de l'ampleur et l'empêcher d'avancer, elle était rester bloquer dans le passée et dans sa tête, elle avait toujours 16 ans, elle ne savait pas si ceux dont elle pense était la réalité, un cauchemar où une invention de sa part, elle ne se rappelais de rien...

Le personnel soignant : Luna, t'es encore allé sur le toit, je t'ai dit quoi? De ne pas faire ça, tu veux quoi ? Restez ici à vie, reprends ta vie, tes responsabilités, tu n'es plus une petite fille.

Elle ne répondais pas car elle ne pouvait pas, elle était muette fin du moins elle ne parlai plus, le personnel soignant essaya de la touchait mais la femme commença à l'a frapper d'autres personne étaient obligé de venir pour lui injecter une piqûre, l'attacher et l'enfermer dans sa chambre, cette chambre blanche, toute blanche, tout ici, lui fait peur et l'a traumatise un peu plus, tout autour d'elle, il n'y a que des fous et son imagination qui devient vagabond, il y a des flammes, tout brûle et son corps aussi, elle peut ressentir les sensations même si celà ne se produit que dans sa tête, il y a une femme folle qui a tout brûlé, cette femme à qui elle voulait donner sa vie, a voulu retirer la sienne, il y a tout sorte de bruit mais elle ne peut crier à l'aide car il n'y a plus de son qui sort au fond d'elle, c'est comme-ci elle était vide et elle ne peut pas s'enfuir, elle peux juste ressentir les sensations, se débattre attacher à son lit, c'était une guerre sans merci contre elle-même, contre l'invisible.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant