Esclave de "ma famille"

93ème partie : Mes souvenirs.

-93-

Luna.

Je me lève, Kunta n'est pas à mes côtés, je me lève, va à la douche et remets mes habits de venue ici.

Je descends et retrouve un mot sur le frigo à la cuisine, je regarde le post-it et c'est écrit : bonjour Mi, au moment où tu lis ça, je suis partie faire de la boxe, faudrait un jour que tu me vois bref j'ai fais le petit déjeune, je t'aime...

Moi : je t'aime...

Il peut être mignon quelques fois.

Je m'assois à table où je mange son petit déjeuner prépare spécialement pour moi. On toque à la porte. Je me lève et va ouvrir.

Moi : bonjour.

C'est la sœur à Kunta et un homme.

Elle me sourit.

Elle : salut.

Moi : bonjour.

Elle : tu es Mina non?

Moi : hein?

Encore ce prénom, il me dit quelques choses mais à chaque fois que j'essaie de me souvenir, ma tête me fait si mal, je vois un visage soudainement une dame avec un air de sorcière.

« C'est moi qui t'es donné ce prenom Mina... »

Je sens seulement du vide et finit au sol quand j'ouvre les yeux, il fait déjà nuit et Kunta est assis à mes côtés, j'ai la tête sur ces cuisses.

Moi : Kunta.

Il était endormie, je me lève et pose ma main sur sa tête pour ébouriffer ces cheveux. Je me souviens de peu de chose juste que la sœur de Kunta était là, je me souviens pas trop de ce qui s'est passé mais je me suis évanouie et voilà.

Il doit être fatigué après s'être battu ainsi, il a une blessure sur les lèvres, elle est légèrement ouvert, je touche sa blessure, je n'aime pas que l'on fait du mal à mon bébé mais si ça lui plait et j'aime qu'il est heureux car si il est heureux, je suis heureuse aussi.

Je m'apprête à retirer ma main quand il attrape mon bras, je sursaute surprise et il me fait tomber sur lui.

Moi : elle est où ta sœur? Tu m'as manqué.

Kunta : je suis juste restée quelques heures, ma sœur, elle est rentré.

Moi : t'es méchant, je t'ai pas manqué.

J'essaie de me lever quand il me retire vers lui en me câlinant fort contre lui pour m'empêcher de bouger, vraiment celui là.

Kunta : *d'une voix ironique* oh mon bébé, tu m'as manqué, beaucoup trop manqué...

Moi : plus sincère.

Il me lache.

Kunta : non je deconne, tu m'as manqué.

Moi : arrête de mentir.

Je m'assois à côté de lui.