Esclave de "ma famille"

97ème partie : La porte des souvenirs.

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Mina.

La dame : bonjour, je suis Claire, Kunta m'a beaucoup parlé de toi.

Moi : bonjour, je suis...

Claire : Mina?

Moi : euh désormais je m'appelle Luna?

Claire : pourquoi ça? On va commencé par faire connaissance, tu verras ça te fera du bien de parler avec quelqu'un qui n'est pas de ton cercle familial.

Moi : oui, ça m'évoque un peu de mauvais souvenirs.

Claire : comme quoi?

Moi : une dame qui ne semble pas avoir de bonne intentions m'a appelé ainsi, je ne sais même pas pourquoi.

Claire : ah d'accord.

Elle notait tous ce que je lui disais.

Claire : Kunta m'a ramener des photos de tes proches.

Il y en avait des imprimés et d'autre non.

Claire : si ça devient trop dure, tu me dis.

Moi : oui.

Elle retourne les photos, je tremble face à ces photos pourtant rien ne me vient juste des fragments, je me vois lécher les chaussures de quelqu'un, je me vois au sol servir de serpillère, je me vois me faire battre d'un fer brûlant, des larmes sortent de mes yeux mais je ne veux pas m'arrêter.

Claire : tu veux arrêter?

Moi : non.

Claire : d'accord. Tu te souviens de ces gens, ces gens ont interféré dans ton passé.

Moi : je me souviens de lui et lui. C'est mon père et Kunta.

Je prends la photo de Kunta, je peux le faire et l'a garde précieusement entre mes mains.

Claire : et cette dame.

Elle me ressemblait assez, je l'a regarde et une douleur poignante attrape mon cœur, j'ai mal si mal en la voyant et des larmes ruisselle seulement, j'avais un sentiment de haine, de dégoût, de désespoir, de peine, de tristesse profonde, plein de sorte de sentiment me passait par la tête. La photo était celle que mon père avait dans un cadre mais c'était toujours douloureux de l'a regarder alors je ne le faisais pas.

Claire : et celle là.

Je regarde la photo tremblante, je voyais des images de moi, entrain de se faire frapper au point d'aller à l'hôpital, de moi où on me jette dans un endroit obscure mais ensuite alors que je ne pouvais voir que moi de base, je vois le visage de cette dame avec une expression sanglante au visage, je tremble tout en me souvenant que ce dont je me souviens c'est ce qu'elle m'a fait subir, mes larmes double en me rappelant de mes souvenirs.

Moi : cette... dame... elle m'a donné ce prénom.... Mina, cette dame c'est...

« Appelle-moi La Patronne »

« Si elle croit que je vais l'appeler la patronne, je suis ma patronne et toi, t'es rien juste Françoise »

Je tremble de plus en plus, j'avais vu que j'avais dépassé mes limites.