37ème partie : Le commencement.

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-37-

Mané.

J'étais revenu mais cette fois-ci pas pour voir, Françoise. C'était pour voir Stella, je m'étais vraiment épris d'elle et je voulais l'a voir, chaque heure, chaque minute, chaque seconde.

Je passe par la deuxième rentré afin de ne pas me faire chopper par Françoise. En entrant dans la chambre, il y a Stella, j'attends de léger gémissement. Je m'approche lentement vers elle, je vois des plaies sur son joli visage.

Moi : qu'est-ce-qu'il y a? Qui t'as fait ça?

Elle se retourne, stupéfaite vers moi, elle sursaute même.

Stella : personne.

Moi : dis moi... purée. On ose frappé ma femme et moi, je dois rien faire, laisse-moi rire, c'est qui? C'est Françoise. Je vais passer l'a voir.

Elle se met à pleurer et puis, se jette sur mes bras.

Stella : ce n'est pas elle, c..c'est son mari mais ne t'attire pas de problème par ma faute.

Moi : tu es entrain de me demander de rester là, sans rien faire?

Stella : s'il te plait.

Je ne dis rien et l'a serre en retour dans mes bras, tout en m'allongeant sur son lit avec elle, à mes côtés, toujours entrain de pleurer.

Moi : dors.

Après qu'elle se soit endormie, je sors de la chambre, déterminé à en coller une, au mari de Françoise. Ça tombe bien, je le vois avec Françoise et leurs enfants. Françoise et la première à me voir, elle fait de grands yeux.

Moi : toi!

Dis-je en l'attrapant par le col, lui assénant un violent coup de poing.

Moi : pour qui tu te prends pour frapper Stella?

Dis-je en me déffoulant sur lui, par contre, il se défendait bien, son gabarit était plus ou moins comme le mien.

Françoise.

Celà, me mettait hors de moi, le fait, qu'il le frappe juste pour Stella, ça me blessait énormément.

Jean : mais quest-ce-qu'il fait à papa?

Hakim : maman, fait quelque chose.

Je sors de mes pensées après les avoir entendu.

Moi : allaient appeler les gardes.

Ils s'en vont en courant. Je me tourne vers eux et je vois Stella, courir vers eux.

Stella : Eh Mané, laisse-le, c'est bon.

Elle se jette sur le dos de Mané, il cesse de frapper Cozila, je reste figé, incapable de bouger. Je regarde peiné le visage amoché de Mané mais c'était pas pire que Cozila.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant