Esclave de "ma famille"

36eme partie : Elles sont tombé sous son charme.

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Mané.

Je ne veux pas me rapeller de tous ces souvenirs de moi, j'étais un gars mauvais avant, je voulais juste jouer avec le plus de femme possible mais lorsqu'elle est arrivait dans ma vie, elle a chamboulé mes projets et mes objectifs.

Je ferme les yeux, me remémorant le jour où elle s'est donné à moi.

Elle m'avait entraîné dans une chambre, il avait un lit cosy. Elle me parlait et me racontait sa vie en Italie.

Elle : il y avait surtout des jours sombre, si je serais resté en Italie, je me serais sûrement suicidé.

Dit-elle en fixant le mur d'en face. Je regardai ces lèvres qui bouger sans que je puisse entendre un son, j'étais captivé par ces lèvres qui avait l'air aussi douce que du coton.

Et sans que je puisse me retenir, j'attrapai sa mâchoire, c'était la première fois où j'ai pu être si proche d'elle.

Je plongeai ma bouche dans la sienne qui ne faisait plus qu'une désormais avec la mienne comme des frères siamois liés par les liens de la bouche.
Nos températures grimpait, je bouillonnai.

Moi : Stella..

Je chuchotai son prénom entre deux baiser.
Je l'a fis basculer, je regardai ces yeux pour savoir, si j'allais trop vite ou trop fort mais elle ne semblait pas souffrir.

À la fin de cet acte, je ne regrettais rien, je pris conscience que j'étais le premier lorsque du sang tâcha les draps. J'en étais fière et heureux, j'avais pris possession de son corps et elle, du mien.

Moi : tu as des regrets?

Dis-je à son retour de la douche.

Stella : lève-toi, je change les draps et va te baigné.

Je voulais le refaire des centaines de fois, j'aurais pu devenir accro à son toucher.

Moi : oui mais réponds moi.

Stella : si je t'ai donné ma fierté, c'est que je le voulais.

Moi : Stella, je t'aime.

Elle me regarda surprise.

Moi : quoi? Tu t'en doutais pas?

Peut-être que je n'étais pas amoureux et que c'était un bien trop grand mot mais ceux dont j'étais sûr, c'était que j'éprouvai des sentiments à son égard.
Je me rendis à la douche et l'a rejoignis rapidement.

Moi : et toi?

Des larmes sortèrent de ces yeux, tel un torrent, je l'ai pris dans mes bras.

Stella : j'ai peur...

Moi : ...

Stella : que tu te joues de moi alors que je.. Je t'aime et qui ne me dis pas que tu as une autre femme et que tu l'as rejoindra juste après moi.