43ème partie : Ce n'est que de l'amitié.

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Kunta.

La porte s'ouvre sur Mina, elle a un grand sourire aux lèvres, ça change d'hier.

Mina : faut que je te dise.

Elle saute sur mon matelas en me collant pour que je me pousse et lui laisse de la place.

Moi : qu'est-ce qu'il y a pour que tu souris comme ça? Mais t'es partie où et tu m'as pas prévenu? Et t'étais avec qui?

Mina : du calme, je sais que tu t'es inquiété pour moi car tu m'aimes trop mais une question à la fois.

Je souffle.

Moi : tu sais quoi? Je veux pas savoir.

Je me tourne dos à elle, elle pose ces mains sur mes côtes et tente de me tourner vers elle.

Mina : allez, je rigolais bon je m'en fous, je te dis quand même déjà je suis partie avec Françoise...

Moi : et c'est ça qui te rends heureuse?

Mina : mais chut, laisse-moi finir bien sur que ce n'est pas ça alors ce qui me rends heureuse c'est le fait que j'ai rencontré mon père, on est allé dans un parc et je l'ai vu, il me ressemblait tellement je suis sur que c'est mon père mais pour être sûr on va quand même faire un test de paternité.

Je me tourne vers elle, elle avait un large sourire qui lui allait très bien, je pense qu'elle a jamais sourit aussi franchement qu'aujourd'hui, c'est vrai qu'elle est vraiment belle, Mina.

Moi : sérieusement, je suis trop contente pour toi mais je le sens pas pourquoi Françoise aurait fait ça, elle attend sûrement quelque chose en retour.

Mina : je crois que j'ai ma petite idée une fois que je serais sûre, je t'en parlerais, ne t'inquiète pas.

Elle se lève, se met à sauter et à crier à quel point, elle est contente. Je suis vraiment heureux, elle, au moins désormais elle sait c'est qui son père et que ce n'est pas une ordure comme le mien.

Mina me sort de ma rêverie et prends mes mains pour me lever pour que je l'a rejoins, bien sûr, je le fais pas, elle se mets à bouder.

Mina : t'es sérieux, lève toi et partage ma joie.

Moi : je peux très bien l'a partager sans faire le fou comme toi.

Mina : t'es nul.

Elle tente de me lever mais finit par tomber sur moi, son visage était tout près du mien, ses mains tenaient toujours les miennes, elle ancre son regard au mien comme moi au sien et aucun de nous ne bouge pendant des minutes qui me parut des heures où on se fixait sans rien dire.

Moi : lève toi.

Mina : je suis désolé.

Elle détache ces mains des miennes, les pose de part et d'autre de mon visage, lèva le haut de son corp et bascule pour s'allonge à mes côtés.

Son visage vire soudainement au rouge et elle mit ses mains sur son visage.

Moi : qu'est-ce que t'as?

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant