Esclave de "ma famille"

68ème partie : Tu m'as tant manquée.

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Quelques jours plus tard.

Kunta.

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire et je ressens aucune émotion, vis-à-vis de ça.

... : hé, Kunta, j'ai pas compris cet exercice.

Je m'approche pour le venir en aide.

Moi : oh ça... c'est écrit que tu dois soustraire.

Brian : mais je sais pas ce que ça veut dire. Sinon c'est vrai aujourd'hui, c'est ton anniversaire aujourd'hui?

Moi : oui mais ne change pas de sujet, tu dois utiliser le moins.

Brian : ah oui c'est vrai, j'avais oublié sinon bon anniversaire.

Moi : merci.

Brian : alors tu vas faire quoi? Si tu veux, je demande à la maîtresse que l'on arrête de faire les devoirs et on fait la fête hein?

Moi : j'ai pas besoin de ça, contrairement à toi, je n'attends rien de ce jour.

La fin de la journée.

Avec Mathilde, on rentre enfin à la maison, j'étais k.o. En rentrant, on voit le fils de Mathilde de dos et une femme aussi. Il se retourne en entendant nos pas.

Tata : oh mon fils, fallait le dire que tu étais là. Tu as du attendre longtemps?

Antoine : non, pas vraiment, à vrai dire, c'est Mina qui m'a demandé de venir, elle voulait te donner un cadeau.

Kassy.

Flashback.

Je vois une jeune fille parlait avec Marie mais je m'approche quand même d'eux, Marie m'a beaucoup parlé d'elle, je crois que c'est Mina, son prénom, je l'avais vu plusieurs fois.

Moi : bonjour.

Elle me regarde avec insistance.

Mina : bonjour.

Moi : pourquoi vous me regarder comme ça?

Mina : tu peux me tutoyer. Ah non...

Moi : non dis-moi.

Mina : vous me direz que je suis folle et même mon amie mais vous ressemblez fortement à mon amie en fille.

Moi : ah oui comment il s'appelle?

Mina : il s'appelle Kunta mais c'est impossible que vous faites partie de sa famille...

Je n'écoute plus ce qu'elle dit et mes larmes coulent d'elle-même, Kunta, mon frère, il n'aurait pas un autre gars de ce prénom car c'est un prénom rare, ma mère voulais qu'il sache qu'il est spécial, qu'il est unique.