71ème partie : Prêt à tout oublier.

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Kunta.

10:00 - maison :

Aujourd'hui, j'avais pas cours alors j'étais dans ma chambre, affalé sur mon lit me baladant sur les réseaux quand on tape à la porte de ma chambre.

... : c'est moi.

C'est ma soeur, Kassy.

Kassy : t'as pas cours?

Moi : non, j'attends 18h00 pour me tailler à l'entraînement.

Kassy : c'est dans longtemps alors tu pourrais m'accompagner faire des courses, je sais que ça sera jamais pareil entre toi et moi mais je voudrais que l'on s'entend bien, je ne suis pas une inconnue.

Elle a pas tord même si ça ne sera jamais pareil, je ne dois pas tenir les gens éloigner de moi comme Andrew, je pensais vraiment pas qu'il me considérait comme un ami alors ça m'a surpris mais c'est vrai que je le suis pas d'une grand aide alors pourquoi il ferait semblant, de tout façon je veux pas m'attacher aux gens car ils vont tous mourir, on est tous voué à mourir alors à quoi bon s'attacher pour souffrir?

Moi : je sais que t'es pas une inconnue, je me prépare et je te rejoins.

Kassy : ça va, je voulais aussi te dire que ça fait quelques temps que je sors avec un gars, je voulais te le montrer parce que ton avis compte plus que tout.

J'étais même pas au courant, elle est forte malgré que je l'ai dit pour la mort de ma mère et ma soeur, elle ne s'est pas laissé abattre, peut-être parce que c'est ma grande soeur et qu'elle voulait me soutenir.

Moi : bien, quand tu veux.

Kassy : d'accord bon je te laisse te préparer.

Elle sort, je me rends à la salle de bain et je m'habille comme à mon habitude en noir, je mets le collier sous mon t-shirt, me parfume vite fait et m'en vais l'a rejoindre, je câline Mathilde et m'en vais.

Moi : on prend la voiture.

Kassy : pas besoin, on va juste marcher un peu pour profiter de l'air frais et parler un peu.

Elle semblait heureuse de sortir avec moi, je me demande pourquoi.

Kassy : tu ne veux pas savoir comment j'ai rencontré mon petit amie, s'il me traite bien ou comment il s'appelle?

Moi : si tu veux...

Kassy : alors je l'ai rencontré quand je m'occupe de lui à l'hôpital, j'étais son infirmière, il était vraiment sympa, on a commencé à beaucoup parlé ensemble puis on a échangé nos numéros, il m'a été d'une grand aide parce que c'était le seul à qui je pouvais me confier après que tu m'as dit pour la mort de ma mère et Kamy, d'ailleurs tu n'étais pas aller avec douceur, je ne pouvais pas me confier à toi sur comment je me sentais et être triste alors que t'as tout vécu alors je ne pouvais me plaindre à toi alors je le faisais à lui.

Flashback.

Il y a 4 ans et demi, j'étais dans ma chambre à me morfondre, je ne mangeais pas, dormais peu car je voyais seulement son visage quand je fermais les yeux, je l'a voyais s'éloigner en me disant au-revoir de la main et je détesté ce rêve mais d'un côté, je l'aimais car elle avait pris le temps de me dire même si c'était en rêve.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant