86ème partie : Son premier amour.

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Kunta.

Je l'avais pardonné, je ne sais pas comment elle en arrivait là mais je savais qu'elle voulait une chose me retrouver quand elle m'a annoncer qu'elle m'aimait, j'étais vraiment heureux car mes sentiments n'était pas à sens unique. Aujourd'hui, je ne l'aime plus et je n'aime pas Cami spécialement non plus. Mina ne doit pas m'aimer aussi maintenant, en tout cas je suis contente qu'elle ne soit pas morte, elle m'avait manqué.

Bon Kunta dors, d'ailleurs c'était les grandes vacances donc j'avais plus cours, j'avais validé mon semestre donc tout allait bien pour moi.

Le lendemain, je me réveille de bonne humeur, je fais ma douche et descends au salon où je retrouve Mina, elle est scotcher à la télévision entrain de grignoter tout et n'importe quoi.

Moi : Salut.

Mi : t'as fac aujourd'hui?

Moi : non, c'est les grands vacances.

Mi : donc tu restes avec moi.

Moi : je suis tout à toi, oui.

Elle rigole et je rigole aussi, je m'assois à côté d'elle et mange ce qu'elle a mangé, soudainement je reçois une notification, je regarde c'est un message de Cami.

Cami - salut, il fait beau dehors, ça te dit une journée au parc?

Moi - j'ai déjà promis de rester avec mon amie.

Camila.

Mon amie avec un e, qu'est-ce-qui se passe? J'avais l'impression qu'il m'évitait surtout que la dernière fois que je suis venue, le rendre visite, il m'a fait limite sortir de chez lui. J'étais jalouse et ça me blessait mais j'essayais de me convaincre que je me faisais des films.

Alors Cami, une journée au lit bouffant des cerises devant "13 reasons why", triste vie, j'ai l'impression d'être célibataire de nouveau.

Kunta.

Moi : alors on fait quoi aujourd'hui?

Mi : hmm et si on allait faire mon shopping car j'ai peu d'habits.

Moi : euh d'accord.

Mi : bah je vais sortir un habits que j'ai pas encore mis, je monte me préparer.

Elle part comme une flèche, je monte dans ma chambre, m'habiller vite fait, polo bleu ciel, un jean noir et des air force one blanche, je vais au salon, elle était déjà là, elle est habillé basiquement.

Mi : t'as pas de quoi m'attacher les cheveux?

Moi : tiens.

Je lui donne l'élastique que j'avais sur le poignet.

Mi : merci, tu me les attache.

Moi : si tu veux.

Elle vient vers moi et je lui attache vraiment à la vite fait.

Mi : je parie que c'est moche.

Elle se regarde dans le miroir vers l'entrée, c'était un miroir où on peut voir tous le corps.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant