89ème partie : Qui fera le premier pas?

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Kunta : c'est ma petite amie, je ne veux pas l'a blesser.

Moi : mais tu me blesse en entendant j'ai toujours eu l'habitude qu'il y a tout deux.

Kunta : arrête de te comporter comme une enfant dans la vie, c'est bien de partager.

Oui mais pas un homme.

Kunta : mange et tais-toi.

Je m'assois sur table, déçu par sa réponse.

Moi : oui... est-ce que tu me vois comme une gamine?

Kunta : oui vraiment, c'est comme-ci tu n'avais pas changé.

Je n'aime pas ça.

Moi : et Camila comme une femme? C'est à cause de son corps, parce qu'elle a des cuisses, un derrière et une poitrine développé et moi non?

Kunta : mais qu'est-ce-que tu racontes? Je m'attarde pas sur ça mais sa mentalité fait que c'est une femme.

Moi : sa mentalité... John m'a dit que j'ai un beau visage mais que je ressemble à un enfant de 12 ans, il a dit que j'étais...

Kunta : je sais ce qu'il t'a dit et je m'en fous, oublie-le juste et mange purée.

Je veux être une femme à ces yeux, je veux pas être une enfant mais comment faire? Ma mentalité...

Moi : oui... apprends-moi a être une femme?

Kunta : mais qu'est-ce tu dis?

Moi : quoi?

Kunta : mange.

Je rigole et mange pour de bon.

Moi : je veux revoir cette Camila.

Je veux comprendre...

Kunta : pourquoi ça?

Moi : juste comme ça sans toi.

Kunta : d'accord, je lui en parlerais.

Je veux comprendre pourquoi elle, si elle est si bien que ça...

Kunta : elle est gentille donc ça va le faire.

Ce n'est pas trop ce que j'ai vu pour l'instant, elle m'a dit des vérités crues. Je finis de manger et m'assois sur le canapé, il me rejoins, nos journées sont comme ça, bête et débile mais j'aime ça, être à ces côtés.

Le lendemain :

Camila avait accepté de me voir, je me prépare, Kunta allait venir avec son ami, un certain Danny et Camila allait ramené une amie.

J'avais mis un joli haut blanc et un jeans noir, les chaussures que Kunta m'avait donné. Je descends où il y a Kunta.

Kunta : j'ai hâte de revoir Danny depuis qu'il est devenu papa, il m'a même pas calculer mais bref... Je le comprends.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant