Esclave de "ma famille"

32ème partie : À nos souvenirs.

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Ahmed.

Je ne pouvais pas faire ça, si ce n'est pas moi, son bonheur, je ne peux pas l'a forcer à m'aimer, après tout l'amour ne s'achète pas et puis, elle a assez de problèmes comme ça.

Pour tous nos souvenirs que je garde au fond de moi, je me dois de l'a protéger.

Moi : je n'ai pas besoin de ça, pour que l'on m'aime alors va là-bas.

Loubna : je t'aurais proposer tant pis pour toi.

Moi : ne lui fais pas de mal.

Loubna : on verra ça.

Elle s'en va avec son air supérieur. Je me jette sur mon lit.

Moi : j'ai pris la bonne décision, j'en suis sûr.

Mina.

Mes cheveux volaient au vent, cette sensation ne cessera de me procurer un bien être immense. Kunta est debout attendant que j'arrive jusqu'à lui.

Moi : allez à ton tour.

Je descends, il monte à son tour puis tends sa main vers moi.

Moi : non, fait le, je te regarde faire.

Il semble réfléchir ou hésiter, je n'arrive pas à déchiffré son regard.

Kunta.

Ma plus grande soeur (Kassy) est celle qui m'a appris à monté à cheval, je ne sais pas ce qu'elle est devenu, on m'a dit qu'elle était morte, elle s'était disputé avec ma mère, elle voulait partir en France ce que ma mère lui a refusé et elle a fugé.

Je tape deux fois sur Luna et elle avance en trombe, je ne peux m'empêcher de sourire, cela me rappelle des bons souvenirs comme des mauvais, je repense à ces moments où je traversais les rives avec ma plus grande soeur à dos de cheval.

Je ferme les yeux et c'est comme-ci, j'y étais. L'eau qui m'éclaboussé, le vent sur mon visage, le claquement des pas du cheval sur l'eau, tout me reviens et le rire aux éclats de moi et ma soeur, Kassy, tu me manque mais tant que je ne verrais pas ton cadavre comme maman et Kamy, je n'y crois pas.

J'ouvre les yeux lorsque le cheval s'arrête devant Mina, je descends.

Mina : tu pensais à quoi?

Moi : à rien de spécial.

On ramène Luna à l'écurie.

Mina : bah pourquoi tu fermais les yeux?

Moi : comme ça.

Mina : menteur, allez, on doit rien se cacher sinon je monte dans ton dos.

Moi : t'as quel âge, sérieux?

Elle saute sur mon dos, enroulant ces bras autour de mon cou et pose sa tête sur mon épaule.

Mina : on avait dit qu'on allait tout ce dire et tu me caches quelque chose... AH ne me dis pas que tu pense à Loubna?