98ème partie : Maman...

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Les mois étaient passés, je n'avais pas vraiment avancé dans la recherche de mes souvenirs, c'est comme ci pour pas me blesser, elle me bloquer, d'une certaine manière j'étais assez blessée. J'ai appris qu'une dame qui était censé se comporter comme une mère m'apporter un mauvais traitement, ça me rendait folle et j'ai dû reprendre mes médicaments.

Et aussi j'ai déménager chez Kunta comme j'étais tout le temps chez lui, bon c'était assez fatiguant puisque la crèche où je travaille sera vraiment car elle était à côté de chez mon père.

Appel entrant.

Moi : Allô.

Kunta : c'est moi Kunta.

Moi : je sais, j'ai vu quand t'a appelé.

Kunta : bref allume la télé.

Moi : oui.

Kunta : met la chaîne ***, je serais bientôt là, tu pourras me voir.

Moi : d'accord.

Fin de l'appel.

Je m'exécute et je vois son beau visage, mon Kunta, je monte le son.

Kunta : bonjour, je m'appelle Kunta Lambada, j'ai 2* (j'avoue j'ai oublié mdrr). Je fais de la boxe, ma conviction depuis que j'étais jeune.

Le garçon qui interview : bonjour je suis Dan et je vais aujourd'hui interviewé cet homme plein de valeur et qui est déjà une légende dans la boxe. Alors quand vous êtes tombé amoureux de la boxe?

Kunta : c'était assez tardive, j'avais 17 ans, c'était une façon pour moi de lâcher mes problèmes et de faire le vide, ça m'a permis de me découvrir.

Dan : qui vous inspire maintenant on a tous une muse.

Kunta : mon histoire et ma petite amie, Luna qui est sûrement entrain de me regarder.

Dan : vous voudrez lui dire un petit mot avant de continuer et débattre sur votre enfance.

Kunta : oui bah... euh je l'aime et que je l'a remercie de me soutenir et rester à mes côtés malgré mes défauts.

Dan : donc vous me parlez de votre enfance donc continuant sur le sujet...

(...)

Kunta : sur ce, au-revoir, j'espère que vous avez passé du bon temps avec moi car moi, si.

Dan : bien sûr, des mots à dire aux téléspectateurs.

Kunta : toujours croire en ces rêves.

Ça c'est finit pile au moment où je devais aller encore chez la psychologue, je prends mes médicaments et m'en vais rapidement.

Je marche jusqu'arriver puisque ce n'est pas loin, j'arrive enfin là-bas.

Moi : bonjour.

Claire : rentre, prend place.

Je m'assois, elle ressort les photos, elle a vu que ça m'aide mieux à me souvenir.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant