-1-
Mina.
Je m'assois sur une chaise pendant que Mincha était partie voir notre chambre et je regardais simplement les domestiques faire à manger.
Françoise : tu fais quoi? viens là.
Elle m'attrape par le col de mon tricot et me traine au salon.
Moi : je sais marcher, patronne.
Françoise : nettoie mes chaussures avec ta langue.
Elle est complètement malade.
Moi : non, je ferais jamais ça.
Je veux bien être sois disant redevable qu'elle m'ai adopter mais pas à ce point surtout que je ne voulais surtout pas être adopter, moi, à la base.
Françoise : sinon je te frappe, c'est comme tu veux.
Moi : je préfère que l'on me frappe.
Bien sûr, je pensais pas qu'elle allait me frappait, les adultes me menaçait souvent de me frapper pour me punir lorsque je faisais mes crises mais ne le faisais pas vraiment.
Françoise : Cozila, au secours, elle s'en prend à moi -en criant-
Je vois un homme plus ou moins âgé courir avec une ceinture a la main. Ok.. donc c'est sérieux.
Cozila : qui donc ?
Françoise : elle.
Cozila : elle?
Françoise : eh bien oui. Qu'est-ce t'attend, dresse-la.
Il commence à me frappé comme si j'etais un homme avec sa ceinture, c'est une menteuse, cette dame, comment moi, mon petit corp frêle et maigre, je pourrais m'en prendre à elle?
Moi : J'a..j'ai rien fais.
Cozila : dégage.. maintenant tu vas faire le ménage.
Moi : mais.. il n'y a pas que moi ici et puis j'ai si m..
Cozila : tais-toi et fais ce que je te dis.
Dit-il en mettant à nouveau sa ceinture au dessus de moi. Je pars en courant, prends un ballet à la cuisine et fais le ménage comme je peux même si je fais un peu n'importe quoi, en plus le ballet fait trois têtes de plus que moi.
Je vois Mincha, tranquille passé dans le couloir marché sur mon travail, même pas, elle viens m'aider celle-là, moi qui croyais que c'était mon allié, sans m'en rendre compte, je fais tombé, le saut d'eau de la serpillère, j'étais bien trop concentré à regarder Mincha faire des allers et retours.
Françoise : vraiment, tu es bonne à rien, tu me rappelle ta mère.
Moi : ma mère vraiment.. Vous l'a connaissez?
Françoise : oui bien sûr comment ne pas l'a connaître cette traitresse, en tous cas, si t'es orpheline, c'est.. Comment dire.. Un peu de ma faute.
Elle rigole, elle est vraiment méchante donc si je suis ici sans ma mère c'est de sa faute.
Françoise : nettoie bien plus aucune trace et ni de goutte d'eau. Je veux voir mon reflet sur ce sol.
Moi : non j'en ai marre, je suis fatigué, je veux dormir et puis, je suis pas votre esclave. J..je suis censé être votre fille.
Elle rit et puis me pousse, je tombe parterre, où il y'a de l'eau, elle m'attrape les cheveux, et me fait toucher le sol, elle s'accroupit pose ces mains sur mon dos et se mets à me frotter sur le sol, erraflant la peau de mon visage puis finit par me laisser après des minutes qui semblait des heures de calvaire.
Moi : pourquoi.. Pourquoi vous faites ça?
Françoise : tu dois rembourser les dettes de ta mère, c'est tout.
Moi : vous êtes qu'une dame qui pense qu'à soi, ma mère était pauvre, est-ce sa faute?
Françoise : T'EN SAIS RIEN, TAIS-TOI, petit sotte, eh oui, je pense à moi parce qu'il n'y a que moi qui compte.
Moi : ben contente pour vous.
Elle me lance un regard noir et alors que j'essayais de me relever, elle me pousse à nouveau, s'en était trop, des larmes de crocodiles commença à couler de mes yeux.
Moi : si tu crois que je vais me laissez faire, je vais être gentille mais pas pour longtemps.
Françoise : allez c'est bon, c'est propre, tu peux disposer.
Elle me regarde avec mépris et je cours, sans savoir même où j'allais.
... : pourquoi t'es la?
Moi : je cherche une salle de bain.
Dis-je en séchant mes larmes.
... : pourquoi ?
Moi : c'est bon si tu compte pas m'aidez.
... : tout droit à gauche 2ème porte.
Je ne dis pas merci car il aurais pu très bien me dire bien avant au lieu de me passer un interrogatoire comme des agents de police le feront.
Je me rends là où il m'a indiqué, je me lave les cheveux et le corps avec tout les shampoings et gel douche que je trouve, cherche des habits dans ma chambre, j'ai vu que c'était une pièce sombre avec que des matelas parterre et des bougies, y'a Mincha d'ailleurs à l'intérieur.
Mincha : ça va ?
Moi : je te prirais de ne plus me parler merci. Madame qui m'a laissé seule.
Mincha : cherche pas les ennuis, tu sais bien que j'aime pas les problèmes et puis pourquoi je ferais tes corvés que tu as mérité, ce ne ser..
Je l'a coupe dans son dialogue.
Moi : arrête de faire comme si on se connaissais, je te connais pas, je savais même pas tu existais avant aujourd'hui, réveille-toi, je ne suis pas ta soeur mais en tout cas j'en suis bien heureuse de ne pas l'être car tu l'aurais laissé se faire taper comme quand tu l'as laissé partir avec "sa" nouvelle mère hein? Et puis t'es partie tout heureuse de l'orphelinat alors qu'elle t'envoyais des lettres là-bas.. En faite, est-ce que ne serais qu'une fois t'as pensé à elle?
Et là, elle se permet de me donner une gifle et je peux vous dire que je l'ai senti, même si je me suis emporté et que j'étais quelques peu déplacé de quel droit, elle ose me gifler.
Mincha : qu'est-ce que t'en sais?
Dit-elle en me regardant avec haine, tremblant de tout son corp.
____________
N'oubliez pas de commenter, partager et voter.
Pequena_Pluma✒.
![](https://img.wattpad.com/cover/61903902-288-k592468.jpg)
VOUS LISEZ
Esclave de "ma famille"
Teen FictionTrès jeune, Mina fut séparé de sa mère, aujourd'hui Mina cherche à retrouver son passé et la raison pour laquelle sa mère l'a laissé. Elle pensait que lorsqu'elle serait adopter, sa vie deviendra un rêve mais ce rêve se transformera en cauchemar. Am...