38ème partie : Une vengeance de 11 ans.

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-38-

Françoise.

En vérité, j'étais juste une femme blessait, l'homme que j'aimais s'est servie de moi.

J'essuie mes larmes, il est sortie avec une fille qui était comme une meilleure amie pour moi.

Je monte dans ma chambre.

Mina.

Je me réveille puis me souviens de tous ce qui s'est passé avec Mincha, je lève la tête et croise le regard attentionné de Kunta.

Moi : tout.. est à cause de moi.

Je me lève de mon lit et pars en courant, sans calculer les cris de Kunta. Je sors de cette villa, je cours pour rejoindre l'orphelinat.

Elle ne va jamais voir sa mère à nouveau alors que sa famille allait être de nouveau au complet, je ne peux que me sentir coupable et l'a comprendre.

Moi : je suis si désolé.

... : Mina, où tu vas?

Je me retourne sur Kunta, je ne pourrais pas le supporter, j'ai vu une personne se faire tuer juste devant moi et par ma faute. Je ne veux pas avoir sa mort de la conscience, certes je ne l'a portais pas dans mon coeur car elle se comportait étrangement mais de savoir qu'elle ne verra plus sa mère.

Je me laisse tomber au sol sur les genoux, les larmes qui ne cessent de couler, Kunta s'approche de moi et me prends dans ces bras.

Moi : -en pleurant - je ne sais quoi faire pour oublier, pour m'enlever ce poids.

Je me déteste, je déteste ma famille. Je déteste tout, pourquoi je n'ai pas une vie comme une autre?
Je me détache de lui et me mets à taper mes jambes, je veux juste mourir pour m'en aller loin de cette maison maudit et ne plus revenir

Peut importe combien j'y pense, je ne vois pas de solution pour sortir, à quoi bon se battre? C'est comme-ci, je me battait seul.

Kunta : - en hurlant - arrête et reprends-toi.

Dit-il en prenant mes bras.

Moi : - en hurlant -lâche-moi, je veux mourir.

Kunta.

Je ne sais pas ce qui s'est passé avec Françoise mais cela à chambouler Mina. Elle en devient folle.

Mina : - en pleurant -lâche-moi, je veux me suicider.

Elle se débat pour que je l'a lâche.

Moi : tu ne dois pas baisser les bras, même moi, j'ai vécu des choses horribles et je suis toujours malgré que tous les jours, je pense aussi à me suicider... donc je refuse que tu ne baisse les bras, t'entends... ta mère, elle, au moins et vivante.

Elle ne répond rien mais cesse de se débattre et se laisse tomber contre mon torse, on reste longtemps dans cette position sans que ni elle ni moi, ne bouge.

Mané.

Je mange mon petit déjeuner quand je reçois un appel d'un numéro non enregistré.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant