73ème : T'oublier pour avancer.

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Kunta.

Kassy me soignait dans ma chambre.

Moi : c'est quand que je vais voir ton copain d'ailleurs c'est quoi son prénom.

Kassy : Danny bon bah quand vous serez libre tous les deux, je compte me marie avec lui et je veux que tu approuve sinon je le quitterai bien sûr.

Moi : si tu l'a choisit, il doit pas être si mauvais. Tu dors ici?

Kassy : ouais.

Moi : bah vas-y reste, je dors au salon.

Kassy : non t'as mal de partout, en plus après ton combat, dort juste, de tout façon, je veux partir au petit matin.

Je me lève sans l'a répondre, elle attrape mon bras.

Kassy : merci, tu sais, je remercie le ciel d'avoir un frère comme toi, tu n'as pas l'air mais t'es très gentil, arrête de faire le dure et ouvre-toi un peu, je serais là et n'oublie jamais que toi aussi, t'as le droit au bonheur Kunta et que même si on meurt un jour, ça ne nous empêche de profiter dans cette vie et s'attacher aux uns aux autres.

Je ne dis rien et m'en vais, peut-être qu'elle avait raison, faut que je m'ouvre un peu, j'allume la lumière du salon et m'allonge sur le canapé, si Antoine n'était pas là, je serais aller dans sa chambre ou elle mais bon...

Je m'ennuie, j'ai pas sommeil et je ne veux pas faire trop de bruit alors je n'allume pas la telévision, je prends mon téléphone et l'allume, oh j'ai un message d'un numéro non enregistré.

+06 99 54 ** ** - salut, c'est moi Camila.

Elle me l'avait envoyé quand on était là-bas, pourquoi elle aurait fait ça, devrais-je lui répondre ou simplement lui mettre un vent ? Je finis par répondre.

Moi - oui et?

Je reçois une réponse immédiate.

Camila - même en message, t'es froid, c'est quoi ton problème?

Moi - tu me veux quoi? Et qui t'as donné mon numéro, Andrew c'est ça.

Camila - ouais et je te veux rien, c'est Rosé qui t'as envoyé ce message et qui a enregistré ton numéro dans mon tel. Alors demain tu viens ?

Moi - toi, tu viens?

Camila - oui pourquoi?

Moi - heureusement je l'ai dit de ne pas inviter n'importe qui.

Camila - je suis pas n'mporte qui, je suis l'amie de sa petite-amie.

Moi - ouais mais à ce que je sache, tu n'es rien pour moi, je suis celui à qui on va fêter sa victoire donc il me faut juste des gens que je connais.

Camila - je te laisse, tu me déprime, ah et je voulais dire que c'est pas parce une femme t'as blessé qu'il vont tous te blesser, tu sais t'as pas besoin de mettre des barrières entre toi et les femmes et les gens en général.

Je ne réponds rien, pose mon tel sur la table basse près du canapé et m'allonge sur le dos en sortant le collier et le regardant, c'est quoi le problème de ces femmes à me faire la leçon même.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant