12ème partie : Les secrets vont-ils être révélé?

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-12-

Mina.

La fille : moi c'est Mila, la fille de ma mère.

Elle veux être la fille de qui d'autre.

L'autre : euh.. la fille de Françoise et mon petit-ami vient aujourd'hui .Je veux un grand festin.

Vanessa : oui, future patronne.

J'aurais tout vu dans cette maison.

Mila : et toi? Dit-elle en me pointant du doigt, fais bien et vite le ménage.

Moi : je fais la vaisselle point et puis je ne suis pas une femme de ménage..

Mila : justement si.

Moi : non, aux yeux de la loi, je suis votre demi-sœur et je ne vais pas vous laissez me maltraité ou quoi que ce soit surtout que je n'ai pas à vous obéir à vous.

Alors que j'étais à fond dans la vaisselle, elle me gifle, je ne réagis pas choqué.

Moi : tu vas me payer pour ça.

Je jette l'assiette que j'avais entre mes mains sur le sol et puis je saute sur elle, attrapant ces cheveux, les tirant et l'a frapper, je mettais toute la haine que j'avais accumulé sur elle.

Moi : vous avez pas le droit de me toucher, toi, Françoise et Cozila.

Mila : aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah maman, laisse-moi.

Vanessa resta choqué sur le côté, ne savant pas quoi faire.

Mila ne savait pas se battre et ne se défend même pas. Elle était balafré de tout côte quand mon corps fut projeté sur le mur, mon dos cogne violement le mur.
Je tremble en levant la tête sur Cozila et Françoise qui rit légèrement.

Cozila : donc toi, après avoir frappé ma femme, tu veux t'en prendre à ma fille, dit-il en criant de sa voix grave et rauque.

Il me faisait trop peur, il m'attrape par les cheveux pour m'approcher de lui, au vol, pris dans un coup de colère, je prend un couteau.

Moi : lâche-moi immédiatement ou je n'hésiterais pas à m'en servir.

Cozila : tu n'osera pas.

Moi : on va voir ça.

Il essaie de m'attraper le couteau mais il s'enfonce juste sur sa peau, il le lâche, s'abaisse et tiens sa main.

Moi : voilà comme ça devrait toujours être toi à mes genoux et non l'inverse, moi vous suppliant de me pardonner alors que vous me frapper. C'est ma vengeance souffre et même meurs.

Lui : jamais, tu m'entends, appeler le Samu. Je vais l'incarné cette cinglée.

Moi : si tu pense que je suis folle avec seulement ça surtout que ce n'était pas mon intention, tu n'es pas au bout de tes surprise.

Il me regarde seulement en chien de faïence.

Moi : vous pensez que je serais là à vous regarder me détruire sans rien faire.

Françoise : c'est bon, t'as fini, ton cinéma.

Je prends le couteau, le brandit pour auto-défense quand je vois Françoise avancer.

Je vois le regard appeuré d'Ahmed, je lâche le couteau et part en courant dehors, j'entre dans la grange, le seul endroit où je peux être seule et me mets à pleurer. Je n'en peux plus d'être d'ici, je veux juste ma mère, je veux de ses bras qui me berce lorsque je vais mal, j'ai peur car j'ai oublié son visage, son doux visage.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant