Esclave de "ma famille"

87ème partie : Ma rivale.

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Cami.

Mon coeur bat vite, j'appréhendais et j'avais peur de pas pouvoir rivaliser.

Pendant le trajet, aucun de nous deux parlait, je n'ai pas tenue sa main cette fois-ci, je regarde juste l'a route, prêt à faire qu'une bouché de ma rivale.

Chez Kunta📍.

On sort de la voiture, Kunta s'approche rapidement d'une fille endormie au jardin, j'avais vu dans ces yeux de l'inquiétude et j'étais jalouse de voir ça.

Kunta : Mi, réveille-toi.

Kunta avait failli m'appeler par son prénom tout à l'heure ou son surnom.

Mi : Kunta t'es venue? Tu avais dit le soir.

Il aide à l'a relever.

Kunta : tu m'attendais?

Mi : oui.

Cette fille ne faisait pas le poids devant moi, elle avait même pas les attributs d'une femme alors si Kunta l'aime, je comprendrais pas, je vois maintenant pourquoi Kunta ne l'aime pas, je dis pas qu'elle est moche bien sur, elle est mignonne très mignonne avec son beau visage mais Kunta a besoin d'une femme pas d'une fille qui a l'apparence d'une gamine de 12 ans.

Moi : bonjour.

J'attrape le bras de Kunta, elle me regarde seulement.

Moi : je suis Camila, sa petite amie.

Kunta m'oblige à lâcher mon bras.

Kunta : elle voulait te voir.

Mi : je suis Luna, son première amour.

Kunta : qui te l'a dit même, ça se peut que j'aimais quelqu'un d'autre avant toi.

Luna : ah oui c'est pas moi?

Kunta : c'est toi.

Moi : bref de tout façon, le premier amour n'est pas fait pour fonctionner.

Kunta : on rentre.

On s'installe au salon, il part pour se changer.

Moi : t'es sdf?

Luna : hein?

Moi : sans domicile fixe, t'as pas de maison?

Luna : j'habite avec Kunta.

Moi : un peu comme un fardeau, un verre de terre qui collent à la peau, tu ne paye pas le loyer?

Luna : hein?

Moi : tu paye quelque chose pour être ici?

Luna : il me dois quelque chose.

Moi : ah donc t'es bien comme un insecte qui squat sa maison.

Kunta.

Je retourne au salon, j'espère qu'elle s'entend bien.