13ème partie : Un rêve d'enfant.

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-13-

Mina.

14h-

Ahmed : j'aimerais être présent ce jour-là.

J'ai ressentis un truc bizarre, mes joues se sont chauffés, mon cœur a battu très vite. C'est la première fois que j'ai cette sensation, c'est assez bizarre car il n'a rien dire de si sensationnel mais pour moi, ça voulais dire qu'il voulait être mon mari.

Ahmed : qu'est-ce que t'as? T'es rouge.

Moi : non même pas, rentrons.

On y va à la maison quand Ahmed avance en me parlant quand Françoise me prends par l'épaule à nouveau sans qu'Ahmed ne se rends compte et me jette dans une écurie. Ça deviens une habitude chez elle. Wow, je savais même pas cet endroit existé, je ne sais vraiment rien de chez elle.

Françoise : ta mère passait le clair de son temps, ici avec les chevaux, celui-là, c'est ta mère qui l'a née, Luna c'est comme ta mère voulait t'appeler.

Moi : pourquoi elle m'as pas appelé comme ça?

Françoise : c'est moi qu'à choisi ton prénom, est-ce que t'as parlé avec Ahmed?

Moi : non.

Bien sûr que j'ai menti

Françoise : c'est bien continue et je te parlerais de ta mère.

Mes yeux brillaient, à l'idée de connaître ma mère, je ne l'a connaissais pas vraiment.

Françoise : je t'ouvre la porte de l'écurie, et qui sais un jour, je te montrer ta mère.

Moi : ma mère, c'est.. c'est vous qui l'a détenait.

Françoise : un professionnel ne relève ces secret qu'à moitié.

Je l'a regarde énervé.

Moi : vous n'êtes pas énervé par rapport à votre mari fin ce que..

Elle : non, tu sais, je ne suis pas méchante et puis je m'en fous un peu de lui.

Moi : merci pour l'écurie

Elle s'approche de moi, me prends dans ces bras et je lui rends.

Elle s'approche de moi, me prends dans ces bras et je lui rends

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Moi : c'est qui ???

Moi : moi et ta mère, tu ne parle plus à mon neveu et je te raconterais son histoire.

Moi : ma mère est blonde et vous vous avez pas de cheveux comme ça.

Françoise : on peut vraiment pas t'avoir toi sinon oui c'est moi, j'ai mis des rajouts et on était jeune, ta mère aimait se teindre les cheveux, elle a même fait rose un jour, je me moquais toujours d'elle, dit-elle un sourire mélancolique aux lèvres.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant