76ème partie : Ne m'oublie pas.

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-76-

Mané.

Moi : bonjour c'est le père de Mina, je serais absent, quelque temps, prenez soin de ma fille, je retournerai à Paris pour l'accouchement de ma femme.

Le responsable de l'établissement : ah d'accord, pour l'instant, il n'y a aucun changement mais je ferais tout pour qu'elle sorte de cette hôpital en bonne santé.

Je me sentais désolé de laisser Luna, seule mais j'avais drmander à me faiee transferé à Marseille et maintenant j'été obligé de retourner à Paris car mon boss avait besoin de moi là-bas et j'ai été contraint à accepté sinon j'allais perdre mon emploi alors tout était prévue pour mon départ à Paris, je croise les doigt pour qu'elle va mieux entre temps, là-bas, je vais rencontre Marie, je ne veux pas lui dire que Luna est vivante, je voulais juste l'a rencontré pour qu'elle me raconte un peu plus, si je l'a connais mieux, je pourrais l'aider à aller mieux et je vais aussi rencontré Kunta.

J'avais tout prévue, j'ai deux billet pour ce soir pour mon départ ce soir.

(Omniscient)

Luna était de nouveau sur le toit, elle regardait le ciel, ça l'a rappelle le garçon qu'elle aimait tout autour était à nouveau calme et tout autour était vide. Elle visualisait encore et encore la scène où Kunta avait préparé une suprise pour elle sur le toit ou la première fois où il l'a ramener pour la première fois sur le toit, elle se souvient de la douleur que ça lui faisait de monter tout en haut, elle commence à pleurer en silence en balançant ces pieds dans le vide, elle ne cessait de penser à lui, c'était la seule personne et les seules souvenirs qui lui restait après ou avant lui, tout était floue, c'était ces seules moment de bonheur, tout ce qu'elle a fait, sans le savoir était le processus pour sa destruction, Stella était morte donc elle ne souffrait pas, c'était la seule qui souffrait, la seule qui a du prendre les responsabilités pour cette guerre alors qu'elle n'était même pas née.

Alors que Luna pleurait tous les larmes de son corps, Kunta lui ne se doutait pas que celle qui l'aimait était belle et bien en vie, il était au côté de Camila, sa nouvelle et première copine, ils étaient chez Rosé qui avait un ventre bien enrondie, elle habitait avec Andrew et ils rigolaient et s'amuser.

Kunta.

Moi : alors ça fait quoi? De voir que le bébé approche, c'est une fille non?

Rosé : oui c'est une petite princesse à sa maman.

Andrew : j'ai trop hâte.

Rosé : vous sortez ensemble vous deux?

Moi : hein?

Rosé : vous vous tenez la main.

Ah, en effet, je lâche sa main en l'a souriant.

Moi : oui, on sort ensemble depuis un jour.

Andrew : purée je savais, ils allaient sortir ensemble.

Rosé : nous, les cipidons de l'amour, on a réussi notre mission, vous nous en devez une, pour la peine, payez nous à manger, j'appelle un restaurant chinois, t'es obligé de payer, j'espère que ta carte.

Moi : attends quoi.

Andrew : ouais c'est vrai sans nous, tu l'aura même pas calculer. Je vais appeler, toi bouge pas.

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant