Esclave de "ma famille"

35ème partie : C'était d'elle dont je suis tombé amoureux..

-34-

Mané.

Dis-je en enfilant ma veste de costard. En marchant rapidement au loin, je vois une dame blonde, les cheveux au vent, elle portait des choses lourdes. Je m'approche rapidement.

Moi : je vais vous aider.

Elle était tellement belle, ces iris était bleues, ses cheveux blond et sa peau pâle.

Elle : merci.

Sa voix était douce, aussi douce qu'une mélodie.

Moi : de rien, tu habites ici?

Elle : oui, je travaille pour..

Moi : Françoise.

Elle : oui.

Moi : quel est ton nom?

Elle : Stella et toi?

Moi : Mané.

Stella : vous aussi vous travaillez ici?

Par cette question, j'étais gêné, je pouvais pas dire à une fille qui me plaît bien que je couche avec sa patronne.

Moi : non, je suis juste un pompier incendier, je vérifie souvent les normes dans les maison.

D'ailleurs, c'est comme ça que j'ai connu Françoise. C'était un jour normal où on a discuter, elle m'a beaucoup chauffé et on se faisait juste du bien, ce moment-là, je savais pas qu'elle était mère et marié, quand je l'ai appris, c'était trop tard, je voulais juste sentir son corps sur le mien, m'évader.

Stella : ah je ne vous avez jamais vu.

Moi : tu es proche de Françoise?

Stella : oui, elle m'a beaucoup aidé, j'ai quitté l'Italie, je n'avais rien et elle m'a tout donné...

Moi : ah...

Stella : mais au faite, tu parle d'elle comme si vous vous connaissez personnellement, depuis longue date. Vous dites même son prénom.

Moi : euh...

Oui, je connais Françoise depuis 5 moins maintenait fin je pense, je compte pas vraiment.

Moi : je viens souvent ici donc on a tissé des liens.

Stella : des liens?

Elle était plutôt curieuse, est-ce que cela voudrait dire que je lui plaisais?

Moi : seulement amicaux.

Je souris en me tournant vers elle, je n'avais pas encore remarqué mais nous étions déjà devant la porte de cette grande villa.

Moi : nos chemins se quittent là.

Stella : au revoir et encore merci.