18ème partie : Secret à moitié dévoilé.

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-18-

Mina.

La patronne entre dans l'écurie, je ne dis rien.

La patronne : tu as trouvé une nouvelle cible?

Je l'a regarde intrigué, ne sachant pas à qui ni à quoi, elle faisait référence.

La patronne : c'est bien, Kunta, il est comme toi, des déchets de la vie.

Je l'a regarde de travers bouche mes oreilles, traverse la cour mais elle me suit toujours.

Moi : Mais lâche-moi, je n'ai pas besoin que vous me cracher des méchancetés au visage, j'ai lâché Ahmed comme vous voulez et maintenant vous me voulez quoi? Dis-je en criant.

La patronne : tu baisse d'un ton.

Moi : T'es qui même pour me dire quoi faire? La dame c'est  pris pour ma mère, rend la moi et c'est bon l'histoire sera finie, dis-je en hurlant encore plus fort.

La patronne : C'est pas si facile que ça, ta mère est une drogué, dit-elle en criant.

Moi : vous l'avez drogué rectification mais, faites-nous la paix.

J'étais épuisée de crier, de me battre, je me rends dans ma chambre, cherche à lui claquer la porte au nez mais elle force tellement sur la porte et pénètre dans ma chambre.

Kunta : je vais y aller.

La patronne : personne part, je vais vous raconter une histoire.

Je me retourne, vois Loubna avec mon album photo, MON album photo. Je l'attrape par les cheveux et l'a pousse, je prend l'album, le range ainsi que ma valise.

Moi : Touche encore une fois mes affaires et je ne resterais pas sans rien faire, tu ne vas pas être prête.

Loubna ne dis rien, ça m'énerve car je sais qu'elle prépare quelque chose. Elle veut se faire bien voir, je me retourne, ah oui, y a Kunta plutôt énervé ou apeuré, je ne saurais pas trop dire et puis je m'en contre fiche.

Je l'a gifle mais d'une manière, elle était pas prête, à cause de la tape, sa tête se tourne sur le côté, elle tiens sa joue, ça m'a fait tellement du bien.

Moi : c'est clair?

Elle : c'est clair.

Elle se met à pleurer

Moi : c'est tout ce que tu sais faire, pleurer.

La patronne : on va tout se calmer, toi là, arrête de pleurer comme une fragile, tu n'es vraiment pas ma fille.

Au même moment où Ahmed vient. Kunta s'assoit abasourdi par la scène qui s'offre à lui, il va bientôt en avoir l'habitude.

Ahmed : il se passe quoi?

La patronne : tant mieux, plus il y aura des spectateurs, mieux c'est.

Ahmed : ne touche pas Stella.

La patronne : mais ferme-là, assis toi là *en m'indiquant où est Kunta* et Loubna, tu vas chercher les autres enfants sauf papa, dépêche-toi

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant