Esclave de "ma famille"

96ème partie : Dans la spirale de notre amour.

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Mina.

Je me réveille, il fait jour dans l'appartement, je pousse légèrement Kunta qui m'écraser clairement, il grogne en enfouiant sa tête sur mon épaule.

Bon de tout façon, aujourd'hui, je n'ai rien à faire, hier on était vendredi, j'ai donc décider de venir pour passer le week-end chez lui même si il aura peut-être un combat de boxe à faire.

Kunta : il est quel heure?

Moi : je sais pas mais il fait jour.

Je me tourne, tire le draps vers moi et ferme mes yeux.

Kunta : il est 08h28, je suis en retard et j'ai beaucoup d'appel manqué de mon entraîneur.

Moi : hmmm.

Kunta : viens avec moi, au moins, je te montre la vie que je mène.

Moi : hmmm.

Il pose un bisou sur ma joue et s'en va.

Kunta : je vais à la douche du haut, baigne toi et prépare-toi.

Moi : hmmm...

Je monte le draps sur ma tête.

Kunta : je suis sérieux.

Dit-il en me retirant le draps.

Moi : d'accord.

Je me lève avec beaucoup de mal, j'avais vraiment des douleurs partout, sur tout mon corps, je vais à la douche...

Ensuite je me mets en peignoir, brosse mes doigts, son peignoir m'allait deux fois grand.je brosse mes dents, ensuite mes cheveux, je m'occupe de ma peau et me maquille vite fait (du mascara et du gloss ) peut-on appeler ça se maquiller, je monte à l'étage, j'avais laisser mon sac à vêtements dans la chambre à Kunta. Je rentre sans toquer quand je vois Kunta torse nue, une serviette autour de sa taille, je m'empresse de sortir.

Kunta : tu n'étais pas aussi sainte hier.

Dit-il en hurlant et rigolant, cet idiot, il ouvre la porte, en attachant les ficelles de son bas de jogging Nike.

Moi : j'étais surprise et puis tais-toi, ne parle pas de ça.

Kunta : quoi tu rougis?

Moi : casse-toi.

Je le pousse ensuite je choisis des vêtements et m'en vais dans la chambre où j'étais avant, je m'habille d'une longue robe fluide à dos nu et fine bretelles, je mets des sandales et m'en vais au salon où il était .

Kunta : je t'ai pas dit de t'habiller aussi bien, je te ramène pas au resto.

Moi : d'ailleurs tu devrais me ramener au resto un jour non?

Kunta : c'est vrai, un point pour toi... on y va maintenant.

Il attrape ma main et on se rends jusqu'à sa voiture, le trajet était assez long.