77ème : Je suis vivante.

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Luna.

Flashback.

La main d'un homme serrait ma main, je l'a serais fort en retour, j'avais peur, mes larmes voulaient pour une raison quelconque coulé mais je refusais qu'elle coule.

Cet homme : tu verras, ça va te plaire, là-bas tu pourras tout oublié, je sais que tu veux retrouver ce Kunta mais ça ne serre à rien, tu m'as moi désormais on va juste avancer.

Pourquoi me dissait-il ceci, tous ce qui comptait pour moi, était Kunta, cet homme, je le connaissais à peine et je devais le suivre avec cette inconnue parce que je n'étais pas majeure.. J'avais la haine mais je me suis promis qu'à mes 18 ans, j'allais le retrouver après avoir eu assez de sous.

Cet homme : ta mère serait contente si tu es à mes côtés.

Après qu'il a dit ça, je n'ai pas su retenir mes larmes, je regardais ce véhicule s'éloignait toujours plus loin de celui que j'aime.

À mon arrivé là-bas, il faisait chaud par rapport à où j'habitais, on habite un petit appartement, là-bas je ne pouvais dormir, je ne pensais qu'à cette incident, je voyais sans cesse, mon corps brûlait sans cesse, le même cauchemar, le même souvenir comme si je brulais à nouveau, j'avais peur mais je pouvais en parler à personne, il n'y avait personne pourtant il y a cette inconnue qui était toujours avec cet homme, elle ne me parlait jamais, l'homme rentrait à la maison rarement très rarement alors j'étais seule avec mes cauchemars.

Je me dégoûté, la brûlure sur ma jambe me dégoutais et m'empêcher d'avancer, d'oublier, la douleur que j'ai eu après la perte d'un être chère, je voulais me dire que c'est faux mais cette douleur qui fait mal à en mourir, je ne pouvais l'oublier.. Je pouvais pas faire comme ci tout ça n'existait, je pouvais que souffrir, encaisser seule et être patient jusqu'à que je suis majeur..

Mais cette solitude avait finit par me bouffer, me ronger de l'intérieur, me détruire, je m'imaginais des choses, je voyais encore et encore une dame sortir d'une pièce avec le feu derrière elle, ça m'a fait perdre les pédales alors je m'énervais et je cassais tous, je ne pouvais m'empêcher de le faire car il y avait ces scènes qui se répétait sans cesse dans ma tête et j'étais seule si seule , je n'avais personne pour le confier et j'avais marre de l'enfermer dans ma chambre et pleurer encore et encore, la perte de cette personne qui ne souhaitait pas vivre, j'en avais marre d'avoir de la haine envers elle et tous le monde autour de moi..

Esclave de "ma famille"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant