Texte 77

4.8K 188 7
                                    

Texte 77:

Puis le chirurgien arrive dans la chambre paniqué il regardait partout ces dossiers, Louis et moi on s’est regardé trop inquiet. Puis il me regarde avec son air désolé, je commence à m’habituer à ce regard, je ne l’aime pas du tout mais vraiment pas. 

Chirurgien: Quand on vous à greffer le poumon on a fait une erreur il faut de suite qu’on vous réopère sinon vous risquez de mourir dans les 2 heures qui viennent la ! Mais comme on s’est tromper c’est pas sans risque qu’on vous perde sur la table d’opération aussi … On est vraiment désolé !

Louis: Vous êtes désolé de quoi, vous êtes que des incompétent dans cet hôpital …

Moi: Louis !!!

Louis: Non mais c’est vrai ils savent même pas t’opérer sans qu’il y ai de problème.(Il s’avance vers moi et me chuchote) Mon amour bat toi on avait dit plus jamais on se sépare, promet le moi.

Moi: Je te le promet mon amour. 

Puis une infirmière, la même que la dernière fois qui refait le même trajet, elle m’amenait vers le bloc, encore une fois, mais cette fois je voyais Louis qui bougeait pas me regardait . On s’éloignait l’un de l’autre, il commençait à paniquer puis ma mère est allé lui parler puis plus rien. J’étais déjà dans le bloc, des chirurgiens autour de moi, j’avais peur, pourquoi ne referons t-ils pas une erreur ? Et si ils arrivaient pas à la réparer ? Je commençait aussi à paniquer du coup ils ont du m’injecter le même truc que la première fois avec un peu d’avance. Mes yeux se fermait toujours avec la même force que je ne pouvait pas lutter alors j’ai même pas essayer de lutter cette fois ci, plus vite se serait passé mieux se sera. Puis au même moment une jeune fille d’a peu près mon âge était dans un état grave et passait au bloc aussi. Vers la fin de nos opérations, tous les chirurgiens donc les siens et les miens si je puis dire. Ils sont tous sortit nous laissant seul. Ils se sont mis à parler de la situation une était morte et l’autre avait survécu. Personne ne savait qui avait survécu ou pas, les parents, Louis tout le monde était paniqués. Ils avaient attendu leurs conversations mais n’en savaient pas plus. Aussi quel hôpital d’incompétent parler de sa , quoi parler ? Plutôt crier sous les salles d’attentes ce qui venait de se passer sans informer les parents. Alors les parents se sont mis au comptoir pour demander les chirurgiens. Trois arrivèrent, et leurs expliquer comment sa s’était passé. Après ce moment d’espoir pour chaque famille dont la mienne, les chirurgiens viennent au moment de dire le nom. Louis repensa au moment qu’on avait passé dans la chambre juste avant. Il repenser au moment ou on s’était dit que plus jamais on se séparerait. Et il s’est mis à versait une larme, ce qui a fait aussi pleurait ma mère et du coup l’autre famille. En voyant tous sa le chirurgien à demandé aux deux familles de venir dans un endroit plus calme ou ils pourraient s’assoir. Il leurs apporta à boire et leur annonça le prénom de la fille qui n’avait pas survécu à tout ceci. Une famille s’effondra, et par politesse l’autre famille étant quand même soulagé pour leur fille mais peiner pour la mort de la deuxième alla réconforter l’autre famille. Alors est-ce moi ou l’autre fille ? La quelle était dans le bloc la allongé sans personne autour et sans vie, sans expression sur le visage ? Quand à l’autre elle y était pourtant toujours allongé sur le lit d’opération, sans expression, sans personne autour mais avec le cœur qui bat et une longue vie qui l’attend, enfin devait y être car quand le chirurgien amena la famille la voir elle n’était plus la. Le lit était vide, tout bien refait comme si personne n’avait était allongé dessus. 

La mère d’une des familles: Ou est elle ? Pourquoi elle n’est plus la ?

Chirurgien: Je ne sais pas attendez nous allons voir au comptoir des informations.



Chirurgien: Je voudrais savoir si vous avez mis en chambre de repos Mlle.******* ?

Dame: Oui nous l’avons mis dans la chambre 214.

Chirurgien: Merci

Ils allèrent vers la chambre, tout content de la retrouver saine et sauf. Ils regardèrent tout d’abord par la vitre de la chambre et oui elle était bien la allongé avec le sourire aux lèvres entrain de rigoler avec un ami. La mère entra dans la chambre la première et se dirigea vite vers sa fille et la prenant dans ses bras avec un tel soulagement. Puis la fille vit son copain s’approcher avec la larme à l’œil. Il la serra fort l’embrassa et lui chuchota « tu y est arrivée ma chérie tu la fait, tu t’est battu, maintenant plus rien ne pourra nous séparait ». Oui alors comme vous l’avez compris c’est moi qui est survécu.

Moi: Oui mon amour , je t’aime !

Louis: Je t’aime aussi mon bébé !

Ma mère: Marie sa y ai demain tu pourra sortir de l’hôpital définitivement tu sera tranquille et tu n’aura plus besoin de revenir toutes les deux semaines !

Moi: C’est trop bien, enfin !

Le lendemain, ma mère travaillait alors c’est mon père qui est venu me chercher à l’hôpital pour me ramener à la maison mais sur la route je voyais que c’était pas la bonne route.

Moi: Papa ou on va ? Tu m’amène ou ? 

Chronique d'une ado ordinaire enceinte à 15ansOù les histoires vivent. Découvrez maintenant