Texte 95

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Texte 95:

Céline: C’est parce que tu me fait beaucoup penser à moi. Et sa me rappelle des souvenirs du temps ou j’avais ton âge.

Moi: Ah, mais pourquoi tu pleures, c’est des souvenirs tristes ?

Céline: Oui, tu vois quand j’avais ton âge à peu près parce que j’avais 1 an de plus, j’avais déjà 16ans et je suis tombée enceinte, j’étais dans la même situation que toi ma mère me soutenait et mon copain aussi il était la pour moi et on voulait la garder.

Moi: Mais ?

Céline: Oui mais le jours de la naissance ma mère ma emmener à l’hôpital pour accoucher et à un feu de croissement un homme était bourré et à grillé son feu rouge est nous est rentré dedans. Le lendemain je me suis réveillée à l’hôpital est il m’ont appris que ma mère n’avait pas survécu à l’accident.

Moi: Mais comment ta fait pour le supporter c’est impossible jamais j’y arriverais moi !

Céline: Mais si t’inquiètes pas, si ta besoin tu saura ou me trouver je suis la si ta besoin tu le sait ! Moi aussi j’ai mis du temps à l’accepter, au début je pensais que c’était ma faute parce qu’elle m’emmener moi à l’hôpital elle faisait sa pour moi je m’en suis beaucoup voulu, mais avec le temps sa à guérie puis je me suis rendu compte que c’était la faute de personne, sa devait se passer comme sa, c’était une malchance qu’un mec grille le feu rouge ce jour la.

Moi: Et ta quel âge maintenant ? Fin sa fait combien de temps que l’accident à eu lieu ?

Céline: J’ai 20 ans donc sa fait déjà 4ans !

Moi: Ok, du coup ta fille à 4ans je suppose ?

Céline: Oui, elle s’appelle Mélanie, je te la présenterais ce week-end, elle viens tout les week-end ici avec moi !

Moi: Oui !

Céline: Et tu sais c’est pour sa qu’aujourd’hui je fait ce métier, car après l’accident je me suis réfugier dans ce centre et sa ma beaucoup aider, puis à mes 18ans j’ai postuler pour travailler ici. Aider des jeunes qui sont dans des mauvaises situations et toi quand t’es arrivé sa ma fait remonter tous mes souvenirs, tu me rappelle tellement moi avec ma mère alors je crois que je me suis un peu identifié à toi c’est peu être pour sa que je fait plus attention à toi qu’aux autres.

Moi: Ta beaucoup de courage !

Céline: Oui, au faite c’est prévu pour quand la naissance ?

Moi: Normalement c’est prévu pour le 8 juin mais je vais accoucher prématurément car en début de grossesse j’ai eu des problèmes de poumons, j’ai du me faire opérer, fin maintenant tout est réglé mais je vais accoucher avant le terme !

Céline: Ah mais c’est cool sa si t’accouche avant sa veut dire bientôt la !

Moi: Ouais !

Bon la journée de mon anniversaire se passa tranquille, j’avais eu pleins de messages et pleins de visites c’était assez cool. Et en fin de journée ma mère était venu me voir, elle avait retenté un coup, peut être qu’elle s’est dit que pour mon anniversaire je ferais un effort. Bah pas totalement c’est plutôt grâce à Céline mais bon j’acceptais de la voir cette fois ci alors elle monta les escaliers et vint me voir dans ma chambre, elle toque tout doucement par peur de gênait. Quand je l’ai vu je fit un grand sourire pour lui montrer qu’elle me dérangeait pas et que j’étais contente de la voir, ce qui était bien le cas je vous rassure. 

Ma mère: Oh ma chérie je suis désolé de ce qu’on a pu faire pour que tu te sentes obligé de venir ici ! Et surtout bon anniversaire !

Merci: Merci ! Non t’excuse pas c’est pas ta fautes, il fallait que je vienne la un moment pour prendre du recul par rapport à pleins de choses, et surtout une qui te concerne.

Ma mère: Ah bon mais quoi ?

Moi: Je sais que t’es malade et que tu vas mourir bientôt, et j’ai pas envie moi, je veux pas te perdre, tu …

Elle me coupe la parole et prend ma main dans la sienne, elle avait les larmes aux yeux sa me donner envie moi aussi de pleurer mais je n’y arrivais pas, sa ne coulait pas alors j’écoutais ce qu’elle voulait me dire.

Ma mère: Ma puce, je suis désolé de pas te l’avoir dit avant mais tu me comprend maintenant pourquoi je savais que t’allait mal réagir. Tu sais toi et ta sœur vous êtes les personnes qui compte le plus pour moi et j’ai aucune envie de vous laisser ici. Mais sa veux pas dire que je ne serais pas avec vous, je veillerais sur vous de la haut………..

Et plus elle finissait son discoure je dirais presque tellement c’était long, plus je me mettait à pleurer. Mais pas pleurer sur notre malheur, non pour une fois je pleurais de bonheur de pouvoir encore parler à ma mère. J’étais tout de même très triste de ce qu’elle me disait, j’avais la boule au ventre comme on dit. Quand on est tellement triste mais que sa reste à l’intérieur parce qu’on vit un moment tellement bien qu’on oublieras jamais, voila c’était sa que je ressentais. Puis un peu avant de partir elle me pris la main à nouveau et elle me sourit comme si elle avait oublié qu’elle était malade et me dit.

Ma mère:…
…?

Chronique d'une ado ordinaire enceinte à 15ansOù les histoires vivent. Découvrez maintenant