Chapitre 23

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Après leur moment d'intimité, Maxime embrasse Margot sur le front et part se rhabiller, il prend son téléphone, et voit qu'il à un message de sa prof.

Quand il lit, qu'elle est à Toulouse avec son mari, son cœur se serre. 

Margot: Je vais t'ouvrir le canapé, comme ça, on ne sera pas obligé de dormir ensemble.

Maxime, la remercie un peu gêné. Leur fin de Week-end se passe bien, la jeune fille fait visiter la ville à son ancien petit ami et l'emmène comme prévu au match de la FFBB.

De son côté, l'ambiance est plus que tendu chez Clémentine. Elle n'adresse pas la parole à son mari depuis l'altercation, et est restée dans sa chambre à regarder une série. Il est 20h30, son mari propose de l'inviter au restaurant, se voyant mal refuser l'effort de celui-ci, elle accepte et part se préparer. Elle détache ses cheveux légèrement ondulés qui tombent en cascade sur ses épaules, se maquille très légèrement en rehaussant ses cils avec une couche très fine de mascara, et une pointe de rouge à lèvre rose pale. Elle porte une pantalon noir, taille haute, avec un haut blanc qu'elle a rentré à l'intérieur du jean. Pour finaliser sa tenue, elle enfile une paire d'escarpin noir, et met une touche de parfum.

Elle ressort de la salle de bain, et rejoint son mari qui l'attend. Lui, en revanche ne c'est pas changé ( elle se dit qu'elle a été conne de vouloir faire un effort )

Deux heures après ils sont de retour, le dîner a été assez pesant, aucun des deux n'a réussi à faire la conversation.

Le week-end touche enfin à sa fin, elle dit au revoir à son mari en déposant un timide baiser sur ses lèvres et prend la route.

C'est l'heure des au revoir aussi pour Maxime, qui fait un bisous sur la joue de Margot en lui promettant qu'ils vont rester en contact en tant qu'ami, qu'il reviendra la voir à Paris et qu'elle peut également venir quand elle le souhaite à Sète.

Maxime s'engouffre dans le train, et en profite pour répondre au message que Clémentine lui a envoyé il y a plus de deux jours.

De Maxime à Clémentine :

Oui, nous en parlerons demain matin. Je n'ai pas arrêté de penser à vous ce week-end...



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